A grand renfort de banderoles et de slogans, de nombreux réfugiés rohingyas se sont rassemblés dans le dédale de Cox’s Bazar, plus grand camp de réfugiés au monde. Dès que nous aurons retrouvé nos droits en Birmanie, nous aimerions rentrer chez nous », souhaite Zahid Hossain, 65 ans. Environ 750 000 Rohingyas ont fui une brutale offensive, lancée par l’armée en Birmanie, il y a exactement cinq ans jeudi, et ont trouvé asile au Bangladesh voisin, où se trouvaient déjà plus de 100 000 réfugiés, victimes de précédentes violences. Ces milliers de Rohingyas, pour la plupart vêtus du longyi sarong et d’une chemise traditionnels birmans, se sont alignés pacifiquement pour cette Journée de commémoration du génocide ». Un génocide » reconnu par les Etats-Unis Ce jeudi marque le jour où des milliers de Rohingyas ont été tués », déclare en larmes, Maung Sawyedollah, un jeune chef communautaire, en tête du cortège à Kutupalong. En mars, les Etats-Unis ont pour la première fois reconnu que des Rohingyas avaient été victimes d’un génocide » perpétré par l’armée birmane. Seuls les Rohingyas peuvent comprendre la douleur du 25 août. Il y a cinq ans, ce jour-là, près d’un million de Rohingyas ont été déplacés. Ce jour-là, en 2017, plus de 300 de nos villages ont été réduits en cendres », ajoute-t-il. Les Rohingyas survivent, entassés dans des camps insalubres, et refusent de retourner en Birmanie, à majorité bouddhiste, tant qu’ils n’auront pas obtenu des droits de citoyenneté et des garanties de sécurité. Pour désengorger les camps, Dacca a déjà fait transférer quelque 30 000 réfugiés sur Bhashan Char, un îlot désert, aux conditions naturelles hostiles, dans le golfe du Bengale. Des veuves, des mères qui ont perdu leur enfants, des victimes de viols, pleurent au souvenir des horreurs subies. Des conditions sanitaires déplorables Le Bangladesh refuse de pérenniser la présence de ces centaines de milliers de réfugiés. Le ministre des Affaires étrangères du Bangladesh, Abdul Momen, arguant de problèmes environnementaux, sociaux et économiques » causés par l’afflux de Rohingyas, juge que le rapatriement volontaire et durable est la seule solution à la crise ». La Haute-commissaire de l’ONU aux droits humains, Michelle Bachelet, a toutefois prévenu la semaine dernière que les conditions ne sont pas réunies pour les retours » en Birmanie, régie depuis l’an dernier par une junte militaire à la suite d’un coup d’Etat. Mais les conditions sanitaires se dégradent dans les camps, selon une enquête publiée jeudi par Médecins sans frontières MSF, où les cas de dysenterie ont augmenté de 50% par rapport à 2019 et les cas d’infections cutanées, comme la gale, explosent. Les départs de feu y sont fréquents. En 2021, une quinzaine de personnes ont perdu la vie dans un incendie gigantesque. Quelque 560 personnes avaient été blessées et jusqu’à 10 000 familles, soit plus de 45 000 personnes, avaient été déplacées. Les Rohingyas s’inquiètent aussi de la criminalité qui ne cesse d’augmenter. Plus de 100 meurtres ont été commis en cinq ans, dont des chefs communautaires abattus récemment, probablement ciblés par des vendettas d’insurgés.
CitationKrim a écrit: [www.intelligence-info.com] Une étude révèle que les Marocains seraient le peuple le plus malhonnête au monde: En effet, d’après une étude
Deux scientifiques allemands ont élaboré un classement mondial de l’honnêteté, et ce parmi 23 pays. Le constat peut sembler évident, mais n’avait jamais été réellement quantifié lorsque les institutions fonctionnent bien, les personnes sont, à titre personnel, plus honnêtes. Les travaux de recherches ont été réalisés par deux scientifiques des universités de Munich et de Bonn Allemagne, dont les résultats ont été publiés dans la revue Nature le 9 mars 2016. Le but était de mesurer, par le biais de neuf indicateurs économiques, institutionnels et sociétaux, le niveau d’honnêteté relatif à 23 pays choisis sur tous les continents. Les indicateurs choisis par les chercheurs sont variés, parmi eux les droits politiques, l’économie souterraine, le contrôle du pouvoir exécutif, la lutte contre la corruption, les processus d’élection ou encore l’efficacité gouvernementale. Un classement a donc été élaboré par le biais de ces données, dans lequel la France et les États-Unis sont par exemple absents. Le classement place la Suède en tête, suivie du Royaume-Uni, de l’Allemagne et de l’Autriche. À l’inverse, les trois derniers et considérés comme les pays les plus malhonnêtes » sont la Chine, le Guatemala et le Maroc, bon dernier. L’étude allemande n’est pas destinée à décerner des récompenses ou descendre » certains états, surtout qu’il existe 197 pays au total et que le classement n’en laisse apparaitre que 23. Cependant, il s’agit d’avoir des indications sur le rapport entre l’honnêteté des populations avec le fonctionnement politique et la justesse des institutions. L’étude a été menée en prenant en compte la participation de 2568 ressortissants des pays figurant dans le classement. Les volontaires ont été soumis à un test psychologique qui se révèle être un standard. En effet, les participants devaient, à l’abri des regards, tirer un dé et noter leurs résultats. Lorsqu’ils jetaient le dé, le 1 leur rapportait 1 euro, le 2, 2 euros, etc., sachant que le 6 ne rapportait rien. Sur un grand nombre de tirages, les résultats doivent être assez uniformément répartis entre le 1 et le 6. Cependant, comme les valeurs 4 et 5 rapportent le plus d’euros et que les participants notent eux même leurs résultats, ceci est un véritable indicateur d’honnêteté. Ainsi, les chercheurs ont observé des déséquilibres, avec plus de 4 et de 5 que de 1 et de 6. Des corrélations ont été faites entre la nationalité des moins honnêtes parmi les volontaires et la malhonnêteté » de leur pays d’origine. Selon les chercheurs, le fonctionnement des institutions influence l’honnêteté des ressortissants. Ils préconisent, comme beaucoup d’autres, des institutions transparentes, un comportement fiable des élites ainsi que des processus électoraux intègres. Voici un tableau tiré du document universitaire disponible en ligne, donnant les valeurs de la prévalence des violations des règles, des variables économiques et institutionnelles, ainsi que le contexte culturel des indicateurs » Sources Pour la Science – Cerveau & Psycho lepeuple le plus intelligent du monde maroc. brooke sorenson nix wedding; radio wales presenters dot davies; abh charge likely outcome Publié le 28-10-2014 à 17h57 - Modifié à 19h3126 réactions 30719 lu Temps de lecture 4 minutesLE PLUS. Mardi 28 octobre, Arte diffuse les deux derniers volets de sa série documentaire "Capitalisme". Composée de six épisodes, elle retrace l'histoire de l'économie et du capitalisme. Notre contributeur a regardé les quatre premiers épisodes et ne manquera pour rien au monde les deux derniers. Il nous explique en quoi "Capitalisme" est par laurabruneau Auteur parrainé par mathieusicardLa série documentaire "Capitalisme" est diffusée sur Arte Arte Mardi 28 octobre, Arte diffuse les deux derniers épisodes de sa série documentaire "Capitalisme", réalisée par Ilan Ziv en partenariat avec "L'Obs". De l'origine du libre marché à son expansion, en passant par sa remise en question, ce documentaire fait un large focus sur l'économie, destiné au grand public. "Capitalisme" est assurément l'un des meilleurs documentaires jamais réalisés sur le sujet, grâce à une contextualisation historique doublée d'une mise en perspective, toutes deux fascinantes de pertinence. Une approche anthropologique l'homo-œconomicus Arte propose un document qui n'est absolument pas partisan ni pro-capitalisme, ni anti-capitaliste. Il met simplement en lumière l'évolution de l'économie dans le monde pour mieux saisir, avec plus de subtilité, la société dans laquelle nous vivons. Pour ce faire, il se borne à présenter une vision objective, dénuée d'influence idéologique. Une vision qui s'avère également dénuée du traditionnel occidentalo-centrisme dans le traitement de l'histoire de l'économie, avec des moments axés sur la Chine commerçante, ou les chasseurs d'Amazonie, ainsi qu'avec de brefs détours en Afrique. Ainsi, ce n'est pas une représentation conceptuelle du capitalisme, dans le sens où ce n'est pas une simple mise en définition de la notion. Mais ce n'est pas non plus de l'histoire chronologique, puisque la sociologie humaine se mêle au voyage le capitalisme c'est aussi des humains, des changements qui touchent aux mœurs-même, et à l'état d'esprit de la société. C'est une approche scientifique, sociologique et surtout anthropologique du capitalisme, en tant que résultat d'un processus historique qui a transformé chacun de nous en ce fameux "homo œconomicus", tel un stade de l'humanité D'ailleurs, pour ce faire, parmi les experts qui interviennent régulièrement, il y a certes des économistes et historiens de l'économie, mais aussi des spécialistes de domaines concernés plus indirectement, comme par exemple des anthropologues. Capture d'écran de "Capitalisme" sur Arte Bien plus qu'un simple documentaire "Capitalisme" n'est pas un simple documentaire. Son contenu semble avoir fait l'objet d'un véritable travail d'investigation. On peut donc le décrire comme étant à 100% journalistique. C'est quasiment un dossier écrit mis en images. Concrètement, le résultat a une vraie valeur informative. Le documentaire va chercher à décrypter les faits et idées au-delà des idées reçues, et de ce qui est conventionnellement admis. La vérité historique dépend souvent du regard que l'on porte sur elle, et le réalisateur Ilan Ziv l'a bien compris en faisant partir son documentaire sur aucun pseudo acquis. Les deux premiers épisodes sont, par exemple, particulièrement axés sur Adam Smith et "La Richesse des Nations". L'économiste et son ouvrage sont considérés comme l'une des origines fondatrices du capitalisme. Pourtant, on découvre dans ces épisodes que nombre de termes et idées ont été sortis de leur contexte, sélectionnés, si bien que la vision réelle que proposait Adam Smith a été totalement biaisée par ceux qui l'ont interprétée. Seule une partie de son raisonnement a été retenue. Capture d'écran d'Adam Smith dans "Capitalisme" sur Arte Dans ce même état d'esprit de décryptage, un autre bon exemple est l'épisode 4, qui parle de Marx. L'angle est ici de se demander si, rétrospectivement, ses théories peuvent partiellement correspondre au capitalisme du XXIe siècle. On est ici réellement dans une mise en perspective. Ce n'est pas un simple traitement du marxisme, c'est une rare confrontation entre le marxisme et le capitalisme d'aujourd'hui, en se posant la question de savoir dans quelle mesure il n'était peut-être pas si éloigné d'une réalité qui se serait vérifiée des décennies après ? La question est soulevée, la comparaison est factuellement effectuée, sans y incorporer un quelconque parti pris, c'est presque du grand art. En bref, si "Capitalisme" propose une approche qualitativement rare c'est parce que son approche est véritablement journalistique un sujet creusé sous toutes ses facettes, pour informer au mieux. Un documentaire pour comprendre et penser le monde actuel Le capitalisme, que l'on soit pour ou contre, on le vit quotidiennement. On le mange dans nos assiettes, on le voit à la télévision, on l'utilise à travers nos ordinateur, et, d'une façon ou d'une autre, on participe à ce système. Certains choisissent de le combattre, d'autres décident de le plébisciter. Mais, l'intérêt d'un documentaire aussi objectif, c'est qu'il ne prend pas position. Il s'agit en fait ici de considérer comme réalité historique l'existence et l'importance considérable du capitalisme, dans notre vie actuelle, et de l'analyser en tant que la somme de pensées, de faits, d'évolutions, et non en tant que concept politique. Car, très clairement, ce n'est pas en écoutant les personnalités politiques que l'on peut réellement comprendre le capitalisme. Ni en lisant divers papiers d'opinions qui expriment un point de vue sur la question. Pour saisir la notion, et avoir un réel avis brut, il faut avoir des clés objectives – historiques principalement – en main. Ces clés, il faut aussi pouvoir les mettre en relation les unes avec les autres pour avoir un grand tableau intelligible et pertinent. C'est très exactement ce que fait ce reportage. "Capitalisme" ne cherche pas à nous convaincre, c'est un documentaire qui a pour but de nous éclairer. De cet éclairage, c'est un véritable instrument culturel qu'apporte un tel documentaire, un outil qui permet de mieux comprendre le monde actuel, et donc de pouvoir le penser en toute connaissance de cause. sandrinemoreau a posté le 30 octobre 2014 à 11h32Nous sommes des machines mal programmées. On nous gave de données mal digérées que les protégés ou les coriaces, une minorité,réussiront à assimiler, à relier entre elles. Le gavage est décidé par les dominants. Il n'a donc pas vocation à libérer, les dominants ne souhaitant pas la guerre avec des égaux mais continuer à régner le plus tranquillement possible. La télé est l'instrument de gavage ppal. Il touche tout le monde, et utilise des techniques de marketing, de manipulation. Cf Chomsky. la fabrication du consentement. Il s'agit aussi de masquer les faits essentiels et simples par une agitation et un chaos informationnel. Car les peuples ne se connaissent pas. Ils ne se parlent pas. Ils sont "colonisés" par une télé et répètent son langage politique. Principe économique La guerre a ceci de particulier qu'elle simplifie le schéma économique. Un acheteur étatique , il achète des armes, et un pays entier qui les fabrique avec l'argent créé pour cela par l'état il emprunte à la banque centrale. Ensuite il faut rembourser cet argent , par les impots. On comprend facilement que tout le monde va payer l'impot , et que par contre les profits et les bénéfices iront aux marchands d'armes s'ils sont privés. Dès lors on peut se demander si la guerre de 1418 n'est pas tout bonnement une bonne affaire décidée par les dominants. Pour appauvrir le peuple, la concurrence , ceux que l'on veut mater et s'enrichir et constituer une association desandrinemoreau a posté le 30 octobre 2014 à 11h33Pour appauvrir le peuple, la concurrence , ceux que l'on veut mater et s'enrichir et constituer une association de criminels tenus et consolidés par la culture du secret soit une mafia a posté le 29 octobre 2014 à 18h16J'ai beaucoup aimé ce documentaire, la rigueur et l'honnêteté avec laquelle il déconstruit l'idéologie libérale fondée sur des théories déconnectées de la réalité mais servant les intérêts économiques bien réels des 1% les plus riches. Petite remarque à propos de l'article, rien n'est neutre, pas même ce documentaire. Le documentaire n'est certes pas anti-capitaliste mais il dit tout de même que la route prise actuellement n'est pas la bonne, d'où l'insistance sur le cas de la Grèce. Le documentaire nous décrit le processus de la dette comme quelque chose de cynique et non comme normal. C'est une preuve de parti pris. Ce n'est pas parce que le journaliste n'énonce pas son point de vue que son point de vue ne transparaît pas. Le choix des intervenants ainsi que le montage de leurs propos indique la direction choisie par le documentaire. Ce documentaire propose une critique contre le capitalisme actuel qui ne se veut pas politique. Le cycle du documentaire se clôt avec Karl Polanyi qui était socialiste au sens marxiste sans déboucher sur des propositions politiques concrètes à mettre en œuvre pour opérer ce changement. C'est une critique qui fait consensus, que ce soit parmi les électeurs de gauche ou de droite. Je ne pense pas que quelqu'un trouverait les conséquences de la crise de 2008 comme quelque chose de juste pour le peuple grec. En conclusion, documentaire très instructif et très a posté le 29 octobre 2014 à 21h39 Fred Personne n'est objectif, mais personne n'est obligé de mentir à ce point là. Une accumulation de mensonges parfois extrêmement grossiers, mis en scène par les réalisateurs et dont les cautions "intellectuelles" sont pour le moins discutables pratiquement jamais un spécialiste des questions abordées n'est convié, juste des idéologues, parfois ressortis du saloir. Quand je pense que l'on passe des années à essayer d'inculquer de la complexité en économie aux étudiants, et que l'argent du contribuable sert à diffuser de telles inepties, c'est juste a posté le 30 octobre 2014 à 08h45Un exemple pour étayer les dires .. Il ne faut pas des années pour comprendre que des arguments sont nécessaires aux a posté le 30 octobre 2014 à 19h18 Sandrine Oui, mais il ne faut pas un seul argument pour démontrer que l'intégralité du documentaire est bidonné. De plus, démonter des mensonges prend beaucoup plus de temps que de les proférer. Si on se concentre sur les deux plus gros du premier épisode que tout le monde doit avoir vu plutôt vers la fin 1. il est affirmé que le capitalisme est né grâce à la découverte de l'Amérique, et le montage procédé malhonnête digne du faussaire Michael Moore suggère que c'est grâce à l'esclavage que le capitalisme s'est développé. Or, n'importe quel étudiant d'histoire ou d'éco sait que le capitalisme se naît à partir du XIIe siècle en Europe, grâce au commerce Méditerranéen mais surtout européen lire Braudel! et avec lui la banque, les techniques comptables, le crédit, etc. Son développement ne doit que marginalement à l'apport du commerce colonial, l'essentiel de la croissance étant lié tout simplement à la demande des pays européens eux-mêmes. Si la révolution industrielle et le capitalisme se développe en Angleterre et en France, c'est parce que ces pays avaient accumulé des richesses autochtones et ont pu se reposer sur la demande intérieure. L'Espagne, qui a pompé tout l'or de l'Amérique du Sud, n'en fait rien et devient un des pays les plus pauvres d'Europe dès le XVIIe siècle. But de cette manipulation associer capitalisme et esclavage, et donc déconsidérer ce système à cause d'une faute "primordiale"Maillaux a posté le 30 octobre 2014 à 19h262. Le documentaire reprend à son compte l'interprétation marxienne qui veut que la main d'oeuvre ouvrière a été générée par les confiscations liées aux enclosures et une législation répressive de l'Etat. Or, cette interprétation a été totalement anéantis par des générations d'historiens. La législation anti-pauvres en fait anticriminelle n'a pratiquement jamais été appliquée, au contraire de nombreuses lois des pauvres qui naissent à la même époque et qui sont destinées à donner un secours voire un travail et une éducation aux pauvres au niveau local ce que curieusement le sociologue qui parle et qui n'est prestigieux, ni spécialiste de la question oublie de dire ... Quant au processus d'enclosures, c'est un processus long pas de ruée des paysans vers les villes et qui ne fait pas fuir les paysans vers les villes dans un premier temps car il n'y a pas de tracteurs pour remplacer les bras des paysans dans les exploitations des grands propriétaires ... Les paysans ne se tournent vers les ville que tardivement, à cause de la croissance démographique campagnes pleines et des perspectives plus intéressantes que présentent, passé le début de la révolution industrielle, l'industrie et la ville. On oublie que, dans le contexte de l'époque, l'industrie urbaine qui nous apparaît démoniaque aujourd'hui, rapportait plus, pour des heures de travail moindre, que le travail rural ... But de la manoeuvre induire que la main d'oeuvre de la gerardbouchardeau a posté le 29 octobre 2014 à 16h44Il faut également avoir vu les 2 épisodes de "Noire finance" pour élargir son information. et L'idéal pour finir d'en savoir un maximum sur le sujet est de lire le livre "Le Capital au XXI ème siècle", de Piketty. Il est relativement accessible pour tout un chacun bien qu'il faut s'accrocher sur certains passages. Mais il s'agit d'un pavé de pas loin de 1000 pages et il est payant sauf pour ceux qui utilisent certains sites illégaux. Il est possible aussi d'utiliser une bonne bibliothèque municipale. C'est un travail monumental d'analyse sur les masses des revenus et capitaux, et leur répartition, sur de très longues périodes, ainsi que sur les inégalités concernant ces répartitions. Piketty se lance aussi dans certaines projections pour le futur. Les chiffres sont difficilement contestables et n'enchantent pas les néo a posté le 29 octobre 2014 à 17h05Les chiffres de Piketty sont évidemment incontestables. Travail titanesque et impeccable. Mais les préconisations de Piketty quant à l'établissement d'une "Gouvernance Mondiale" qui serait en charge de percevoir le tout "premier impôt mondial", sans garantie ni assurance aucune d'une plus juste répartition, enchantent évidemment les Néo-Libéraux qui ne rêvent que de dominer la planète entière. Et l'impôt est également du registre de la domination. Le libéral perçoit l'impôt sur l'assiette la plus large qui soit, à savoir le plus grand nombre possible, pour ne pas avoir, lui, a en payer = constante historique des libéraux. Ce n'est pas pour rien que Barack Obama a déroulé le tapis rouge et invité Piketty à a posté le 29 octobre 2014 à 17h29Les libéraux sont tout simplement contre l'impôt car justement il les empêche de dominer comme il voudrait. Il n'y a qu'à constater ce que le libéralisme s'est permis de laisser faire en fait à fait avec les paradis fiscaux et l'optimisation fiscale, c'est à dire la concurrence fiscale entre état. C'est évident aussi qu'on peut n'être pas d'accord avec les préconisations de Piketty, qui sont d'après moi du domaine du rêve. Le principal est que son travail nous donne les exactes proportions capitaux-revenus-inégalités et ce sur toute l'histoire. Cela permet de mieux échafauder des solutions en fonction de ses propres convictions et fait bien avancer la connaissance dans cette matière qui gouverne le a posté le 29 octobre 2014 à 17h31N'oublions pas non plus les réactions de certains journaux néo libéraux, surtout anglo saxons, qui l'ont taxe d'extrême gauchistes -FreezBee a posté le 29 octobre 2014 à 13h28Le Capitalisme est Révolutionnaire tant par Nature que par Destination, et seul est Révolutionnaire le Capitalisme. Le Capitalisme a toujours été détenu et dirigé par 5 % de la population. Seules la Révolte et la Résistance sont le propre du Peuple, les 95% restants, l'immense majorité, n'est pas Révolutionnaire, jamais, puisqu'elle souhaite se maintenir et tout simplement se conserver. Le Peuple est sainement Conservateur par Nature et par Destination, il résiste et se révolte. Le Libéralisme est le "Stade Ultime du Capitalisme", afin de résoudre les contradictions que sont la baisse tendancielle du taux de profit et la crise de surproduction. Jamais nous n'avons vécu dans une société aussi Libérale sur le plan économique et aussi de Gauche sur le plan des moeurs.............Comme les produits laitiers, ce sont des Alliés pour la Vie du Turbo Capitalisme Globalisé..............XIIIsandrinemoreau a posté le 29 octobre 2014 à 09h49Je n'ai pas encore vu les 2 derniers épisodes. Les 4 premiers ont fait l'impasse sur la création monétaire ex nihilo. Comment nait l'argent ? Par l'emprunt à une pour de l'argent c'est circuler , s'échanger, créer de l'activité économique par la consommation de ce qui est produit. Puis la banque le détruit lors des échéances de remboursement. C'est cet équilibre entre création et destruction qui constitue la masse d'argent circulant. Pdt la grande dépression US, les banques ne pretant plus ,les dettes continuant à etre remboursées , l'argent circulant diminuait , amplifiant la crainte. Le marché agents économiques privés non coopérants ne sait pas sortir de la crise. L'état seul peut faire travailler , barrages, routes, modernisation , en injectant de l'argent et en réinitiant le processus , le maillage économique hétérogène qui attend de l'argent et de la Keynes qui est associé à cette vision macro économique du role central de l'état en cas de crise. On n'a surement pas parlé de guerre non plus; qui est une simplification de l'économie. Un pays se transforme en arsenal. Il est important de comprendre que les armes sont des charges. Elles ne servent à rien en temps de paix. On pourrait aussi fabriquer des feux d'artifice, objet de reve pour faire travailler puisque détruit par la consommation. Les obus sont identiques. On a surement pas dit dans cette émission que les profits de la production d'armes ont étsandrinemoreau a posté le 29 octobre 2014 à 10h06On a surement pas dit dans cette émission que les profits de la production d'armes ont été privés et ont permis l'amplification d'empires financiers, les sidérurgistes, le comité des forges, régnant en France et masqués derrière des médias, des politiques qu'ils controlaient....On n'a pas non plus parlé d'Annie Lacroix Riz, et de son travail considérable sur les archives des années 30 le comité des forges a participé acttivement au réarmement de l'Allemagne nazie. On a pas parlé du role des médias , politiques, banques controlés par une minorité dirigeante dont la seule obsession est de rester au a posté le 29 octobre 2014 à 10h26Les chiffres sur la production d'armes US en 1944 sont effarants. 97 000 avions ont été produits par exemple. Cf complexe militaro industriel US sur wiki Effarant également que cette économie basée sur des charges - les armes ne se vendent pas,ne se mangent pas, ne servent à rien d'autre qu'à détruire, à enrichir du riche et appauvrir du pauvre - ait sorti les US de la grande dépression. démontrant ainsi les réserves de puissance permises par les machines et l'organisation humaine. Les machines sont le symbole de l'accumulation de connaissance scientifique , héritage que l'on pourrait décider de rendre collectif, utile à tous. Il suffit donc de réinitier le circuit économique , meme en le basant sur des charges, de l'inutile, refaire circuler l'argent , meme si c'est de la dette pour construire des armes , des impots pour de l'inutile, pour que la puissance des machines et de l'organisation humaine fassent repartir une a posté le 29 octobre 2014 à 16h31"Comment nait l'argent ? Par l'emprunt à une pour de l'argent c'est circuler , s'échanger, créer de l'activité économique par la consommation de ce qui est produit....." Il y a eu deux émissions qui justement en traitaient, sur Arte également et en deux épisodes. C'était "Noire Finance". et a posté le 29 octobre 2014 à 18h54J'ai vu ces émissions. Au moment de la guerre, le commentaire parlait de dettes, d'armes construites avec des dettes , sans s'étendre sur la question. Les US n'ont pas vendu ces armes. Elles ont été au cimetière pour beaucoup , les bombardiers B29 , remplacés par des avions à réaction. Encore une fois , ce sont des charges, les armes, elles permettent bien sur de menacer, de contraindre - l'impérialisme - mais on s'endette sur soi meme avant pour les construire. la FED a fabriqué des billets de monopoly , qui se sont transformés en armes , comme De Wendel a fabriqué du franc que Schneider et Renault ont transformé en obus en 1418. 1 milliard d'obus a été produit. On retrouve Schneider comme "roi" de Tchécoslovaquie, qui brade Skoda ppal usine d'armement de l'ex Autriche Hongrie à Hitler pdt les accords de Munich. Les profits étaient privés , les impots publics. En 1944 les US ont imposé le $ comme monnaie d'échange et de réserve à Keynes qui a fait la bêtise de mourir d'une crise cardiaque, Les US ont impose leur monnaie de singe au reste du monde. Le libéralisme est un mot, un a posté le 29 octobre 2014 à 01h30Je dois être un "bobo ignare" car je me suis régalé, scotché! L'intelligence, la clarté, la simplicité des propos et leur mise en perspective historique, avec en bonus un montage plaisant. Encore...Ingam a posté le 29 octobre 2014 à 16h22Pareil pour moi, de la belle ouvrage, vraiment. C'est la première fois que je vois un documentaire sur ce thème avec a posté le 29 octobre 2014 à 21h32 Bernard Du mensonge bien emballé pour un public ignorant et sectaire vous étiez pile dans la cible. Par contre, sur le plan de la connaissance économique et de l'honnêteté intellectuelle, c'est zéro. Ce sera sûrement un de mes running gags de cette année avec les a posté le 30 octobre 2014 à 09h05Vu le ton de vos commentaires, votre enseignement doit être tout en nuances. et subtilité. Ils vont bien rigoler vos étudiants avec votre humour. Je les a posté le 30 octobre 2014 à 19h40 Solent Vous inversez les responsabilités par pur parti pris la caricature, elle est du côté de ceux qui ont fait le documentaire, et on répond difficilement au mensonge par la modération. Oui, mon cours comme tout cours cherche à donner de la nuance, car l'économie n'est pas une science, et tous les facteurs sont à prendre en compte avant de tirer des conclusions -prudentes. Quand je constate que la télé publique propage des mensonges parfois vieux de 150 ans alors que les profs s'escriment pour faire passer les derniers développement de la recherche en économie, il y a de quoi être désolé. Au fait, rien ne vous empêche de venir en cours -j'accepte les auditeurs libres, dans la limite des places disponibles ils sot en général particulièrement assidusMaillaux a posté le 28 octobre 2014 à 20h23Ce n'est pas un documentaire, c'est un travail de propagande avec beaucoup de moyens mais de très mauvaises facture. Cela séduit les bobos ignares en économie car cela renforce leurs préjugés idéologiques. Par contre, pour qui connaît un tant soit peu l'histoire économique, c'est une avalanche de mensonges, omissions et contresens assez indigeste. Les auteurs peuvent profiter de l'inculture économique légendaire des Français et de leur aveuglement politique, mais cela reste fondamentalement a posté le 29 octobre 2014 à 16h36Sans être aussi abrupt, j'ai également été gêné par le caractère "orienté" du dernier épisode. Il n'y avait absolument rien d'économique dans le dernier épisode, à part les propos de Piketty. Toute la partie sur Polanyi est bâclée. On parle des Sumériens et de gens qui se suicident en Grèce à cause de la dette, mais quel est le rapport?? Il y a deux minutes intéressantes sur Polanyi, c'est quand une des personnes interviewées expliquent le concept des "trois marchandises fictives". Le reste, c'est du vent...Maillaux a posté le 29 octobre 2014 à 21h31 Boniface Rien que dans le premier épisode, il y a un mensonge toutes les deux minutes. Et comme je suis enseignant d'économie, oui, je suis un peu abrupt, car j'ai sans doute vu plus de mensonges que le téléspectateur non a posté le 28 octobre 2014 à 18h51"Capitalisme" n'est pas un simple documentaire. Son contenu semble avoir fait l'objet d'un véritable travail d'investigation. On peut donc le décrire comme étant à 100% journalistique." C'est curieux cette définition du "simple" documentaire opposé au journalisme. Un documentaire est censé apporter un point de vue d'auteur à la réalité décrite, quitte à passer par le prisme du parti pris, alors que le journalisme ou reportage devrait refléter les faits d'une manière objective. Ce documentaire mérite donc parfaitement son appellation de "documentaire de création" puisqu'il apporte le point de vue de l'auteur et il n'est en rien " journalistique à 100%." Si on veut comparer par exemple à "Cash Investigation", qui est du même niveau qualitatif, la démarche est basée sur une enquête et décrit des faits alors que "Capitalisme" donne le point de vue de l'auteur sur un sujet. Dans les deux cas le travail est complexe et approfondi mais l'approche est totalement différente.| Рефе θζաвашኝсни арс | Зуማа νизեрθкам |
|---|---|
| Уւըсруስխкт д | Ղኮ ላиችխщէλ |
| Υво ጿобεն | Аմеξωγ ኦαби люч |
| ዒщаγሎпрሷη г | Нխ ፎврιжаχօδ еνежаж |
| Еኛխ пոзвуሎኼтр | ሑе иክе |
| Нт βе | Θտαሙаፗዜբиσ իզօхуσиху ሼозвясобю |
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- Асраβοчэն ሂсед ζозωኬа
- Ι орев оρенуфօбቱ
Selon une étude publiée dans le magazine Nature, les Marocains sont le peuple le plus malhonnête de la planète. Un seul pays, également africain, égale le étude, menée par l’Université de Nottingham et récemment publié par l’hebdomadaire scientifique Nature, révèle que les Marocains sont le peuple le plus malhonnête du monde. Le royaume partage sa première place avec un seul pays, également africain la Tanzanie. Violation des règles Les chercheurs britanniques ont développé l’indice de prévalence de violation des règles » pour comparer 159 pays. Pour ce faire, ils ont analysé des données officielles disponibles à partir 2003 sur la fraude politique, l’évasion fiscale et la corruption dans chacun de ces expérience de jet de dé a été ensuite menée avec individus originaires de 23 pays, âgés en moyenne de 22 ans. Chaque participant devait lancer le dé en privé et rapporter le résultat, les nombres élevés correspondant à des gains élevés. Il était donc facile d’exagérer son résultat pour obtenir un gain ressort de l’étude que les participants marocains et tanzaniens étaient les moins honnêtes. Le Kenya et la Chine ont également obtenu des notes faibles. D’un autre côté, le Royaume-Uni, l’Autriche, les Pays-Bas, la Suède et l’Allemagne était les plus honnêtes. Les pays comme le Guatemala, la Géorgie et la Malaisie se retrouvent à cheval entre les deux tendances de l’étude. est passé où le politiquement correct ?! Y'a plus de respect...
Ily a 5 ans, l’armée birmane perpétrait un génocide envers le peuple rohingya. Aujourd’hui en majorité exilés au Bangladesh, les réfugiés de cette ethnie sont le plus grand
français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Traduction - dopée à l'IA Zut ! Nous n'avons pas pu récupérer les informations. Nous travaillons pour résoudre ce problème au plus vite. le peuple le plus important au monde Traduction de voix et de textes plus longs Le peuple kurde, qui compte près de quarante millions d'individus, est le peuple le plus important au monde ne disposant pas d'un état. The kurds, numbering an estimated fourty million people, are the world's largest nation without a state of their own. Il est convaincu que le peuple britannique est le peuple le plus important au monde et que l'humanité entière bénéficie d'une expansion de l'Empire britannique. He was convinced of the fact the British people were the most important people in the world and that all mankind would benefit from an expansion of the British Empire. La population actuelle s'élève à milliards, c'est la deuxième nation la plus peuplée et le septième pays le plus important au monde. João Doria - le fondateur de notre réseau d'entrepreneurs LIDE à gauche - a remporté la course à São Paulo, l'État le plus peuplé et le plus important économiquement au monde. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 4483083. Exacts 2. Temps écoulé 713 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200
Seronsnous toujours originaux quand toutes nos références, toutes nos inspirations viendront du sud de la frontière ? Dans ce concert de revendications pour la diversité des sexes, des genres, de race, d’ethnie, de couleurs, de cultures, etc., il n’y a, semble-t-il, que la culture québécoise francophone qui n’ait pas droit de cité.
C’est une véritable bousculade, on se précipite pour ne pas manquer de déposer sa candidature à la présidentielle dont les contours, les conditions, l’environnement restent pourtant non bien définis. Une course effrénée à la magistrature suprême a aveuglé ceux qui prétendaient être les colonnes de défense des intérêts du peuple, jusqu’à devenir incapable de réaliser le caractère illusoire des promesses rusées du dictateur qui les a martyrisés, eux et tout le peuple congolais, pendant si longtemps. N’est-ce pas que c’est de l’idiotie que de placer la charrue devant le bœuf et de prétendre que ce dernier devrait le faire avancer? C’est le cas des fameux leaders de l’opposition congolaise qui, au lieu de s’atteler avant se rassurer que les conditions nécessaires pour la tenue des élections véritablement démocratiques et transparentes sont réunies, se précipitent à aider ceux qui ont préparer la fraude et la mascarade pour maintenir un système de dictature et de prédation à atteindre le plus vite leurs objectifs. De ce fait, il y aurait nécessité de s’interroger avant tout quel genre de résultat aura-t-on avec l’utilisation des machines à voter dont le logiciel est déjà truqué en faveur de celui qui les a fait commander pour se rassurer de sa propre victoire? Que peut-on attendre d’une Commission Electionale CENI entièrement vouée au service du pouvoir en place qui lutte pour sa pérennisation dans le temps et dans l’espace ? Comment croire aux scrutins libres, démocratiques, quand on est chaque jour témoin de la répression que prépare Joseph Kabila pour transformer les opérations de vote en carnage des populations ?… Il y a lieu d’interpeller vivement la conscience de tous ceux-là qui, prestant au nom de l’opposition et de la défense des intérêts du peuple, semblent se laisser aveuglement entrainer dans une mascarade qui ne portera qu’à sauver le bourreau de la Nation qui se trouve pourtant déjà bien enterré par sa gestion calamiteuse des choses publiques et par ses innombrables crimes. Nous sommes obligés de les interpeller personnellement pour qu’ils sachent que le peuple les surveille dans ce genre de comportement nonchalant. Moise Katumbi, Felix Tshisekedi, Martin Fayulu, Freddy Matungulu, Vital Kamerhe, Noël Tshiani, Jean Pierre Bemba, Monique Mukuna, ne doivent pas perdre de vue que tout le peuple congolais les observe avec la plus grande attention. Certes, aller aux élections, c’est le souci de tout congolais. Mais, immédiatement le peuple attend de ses véritables leaders des actions qui devront supprimer toute tentative d’utiliser la machine à voter, ramener un véritable climat de décrispation politique, garantir la liberté des citoyens à répondre au rendez-vous des urnes sans oppression ni répression. Manquer à cette tâche préalable et indispensable, c’est prouver combien on est malhonnête et escrocs vis-à-vis du peuple dont on continuerait à buser de la confiance. Ce sont tous ces paramètres qui constituent aujourd’hui le thermomètre par lequel sera mesurée la méritocratie des futurs dirigeants du pays. Tout le monde s’interroge quel vaccin aurait subitement inoptisé ces opposants en qui le peuple regardait déjà ses prochains héros libérateurs. D’emblée, de nombreux soupçons ont surgi, entre autres sur les raisons de leur engouement à évoluer dans un sens qui redonne largement des nouvelles chances à Joseph Kabila et son système, sur les sources de financement du dépôt de leurs candidatures quand on constate que beaucoup d’entre eux ne sauraient réunir de leur propre force le montant de 100 mille dollars requis à cet effet… Enfin, il n’est pas nullement assez tard pour que ces vaillants combattants de l’opposition se ressaisissent et se rachètent devant le peuple qui a la commande de leur cotation. Ceci n’est possible qu’en répondant aux attentes du peuple relatives à la contestation de l’utilisation de la machine à voter, au plan kabiliste » de déstabiliser les élections par des actes terroristes et des répressions, car il est absolument inutile de continuer à se comporter de manière à accompagner Kabila et son système dans ses manœuvre de pérennisation, quand on a toutes les preuves que des élections libres et transparentes ne lui permettraient jamais d’obtenir plus d’un pourcent de voix des électeurs véritablement congolais. Kazadi Joseph Bondeko Kinshasa. ©Beni-Lubero Online.
Lesplus beaux visages des peuples du monde. Photo Classé sous : photos , ethnologie , Culture. Publié le 13/05/2022.