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Quand le ciel étoilé couvre notre demeure Recueil "Les Heures du Soir" Quand le ciel étoilé couvre notre demeure Nous nous taisons durant des heures Devant son feu intense et doux Pour nous sentir, plus fervemment, émus de nous. Les grands astres d’argent tracent là-haut leur route ; Sous les flammes et les lueurs La nuit étend ses profondeurs Et le calme est si grand que l’océan l’écoute ! Mais qu’importe que se taise même la mer, Si dans l’espace immense et clair Plein d’invisible violence Nos coeurs battent si fort qu’ils font tout le silence ! Poème préféré des membres Aucun membre n'a ajouté ce poème parmi ses favoris. Toique nous voyons luire entre le ciel et l'onde, Lampe d'Héro, ne t'éteins pas ! La lampe d'Héro Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann Plus sur ce poème | Voter pour ce poème | 166 votes Endymion s'endort sur le mont solitaire, Lui que Phœbé la nuit visite avec mystère, Qu'elle adore en secret, un enfant, un pasteur. Il est timide et fier,
Publié le 22 août 2022 à 18h00Source TF1 InfoL'image d'une bande brillante dans le ciel français a étonné de nombreux internautesCertains évoquent des "étoiles filantes" quand d'autres s'inquiètent de l'arrivée d'un "Ovni".Il s'agit en réalité d'un train de satellites de Space X, l'entreprise du richissime Elon une lueur "très étrange" que celle qui a traversé le ciel français. Dans la nuit du dimanche 21 août au lundi 22, certains chanceux ont pu observer une ligne lumineuse, éblouissante. Sans toutefois en connaitre l'origine. Interpellés par cette vision, de nombreux internautes nous ont demandé à en savoir plus. À l'instar de Thierry, qui nous a écrit à l'adresse lesverificateurs afin de connaitre la nature de cette "étoile filante" observée "dans le Bas-Rhin". Idem pour un autre internaute qui a publié une vidéo du phénomène, vue plus de fois, dans laquelle il évoque un "Ovni en Haute-Marne". En réalité, il ne s'agit ni d'étoiles, ni d'une visite extraterrestre. Un "train" de satellitesEn fait, ce que certains Français ont pu observer, c'est un train de satellites Starlink. Comme on le découvre sur le site de SpaceX, l'entreprise américaine spécialisée dans le domaine de l'astronautique et du vol spatial, le quatrième lancement Starlink a eu lieu le 19 août à 19h21 heure locale. Depuis le Cap Canaveral, en Floride, la fusée Falcon 9 a mis en orbite "53 satellites" de l'entreprise d'Elon Musk. Relâchés en orbite, ils ont ensuite allumé leur moteur ionique avant de se séparer. C'est eux qui ont formé tous ces petits points lumineux, visibles dans le ciel. Une étape de plus dans la future méga-constellation de satellites voulue par le milliardaire. Ce projet ambitieux vise à donner un accès internet haut débit depuis l'espace à des milliards de personnes vivant dans les régions les plus reculées. Mais comme nous vous l'expliquions ici, il est également vivement critiqué par certains astronomes pour la pollution lumineuse qu'il aussiUne information confirmée par Eric Lagadec. Astrophysicien à l'Observatoire de la Côte d'Azur, il affirme ce lundi que la chaîne lumineuse était bien constituée de "satellites Starlink lancés par la compagnie SpaceX d'Elon Musk". D'ailleurs, ce n'est pas la première fois qu'un tel phénomène est observé. Comme le montre la vidéo ci-dessous, déjà en mai 2019, une telle traînée brillante avait traversé le ciel. On n'en était alors qu'au premier lancement des satellites Starlink. Le prochain est déjà prévu pour le 28 souhaitez nous poser des questions ou nous soumettre une information qui ne vous paraît pas fiable ? N'hésitez pas à nous écrire à l'adresse lesverificateurs Retrouvez-nous également sur Twitter notre équipe y est présente derrière le compte SiderisSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités
Uneétoile de plus dans le ciel des Hardis mareyeurs, après une chute fatale à cheval Christian, compagnon de Route des Hardis mareyeurs depuis des années, tu ne seras pas sur la prochaine Route du poisson A ta façon, tu savais porter les valeurs de notre équipe, et ton engagement pour défendre la médiation avec le cheval laissera des

Comme Une ÉtoileComme une étoile dans le cielTu brilles sur cette terreTa valeur est sans pareilleTa beauté est exemplaireC’est celle qui vient du cœurBien plus précieuse que l’orCette beauté intérieureFait de toi un vrai trésorCar ta vie est si précieuseEt le présent un cadeauChaque journée merveilleuseL’aube appelle le renouveauSur le chemin de la vieSe présente le bonheurIl s’offre à toi aujourd’huiEt Il vient réjouir ton cœurIl n’existe sur la terrePersonne qui soit comme toiCrois en toi et puis espèreQue tu feras des exploitsCaresse toujours l’espoirEn des lendemains qui chantentNe cesse jamais de croireQue la vie est bienveillanteUnique es-tu ici-basViens accueillir cet amourAu fond du cœur cette joieDe donner jour après jourTu es né pour être aiméEt pour vivre avec passionMerci à toi d’existerTu es une bénédictionSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Comme Une Étoilecommeu=ne=é=toi=le=dans=le=ciel 8tu=bri=lles=sur=cet=te=ter=re 8ta=va=leur=est=sans=pa=rei=lle 8ta=beau=té=est=exem=plai=re 7cest=cel=le=qui=vient=du=cœur 7bien=plus=pré=cieu=se=que=lor 7cet=te=beau=té=in=té=rieu=re 8fait=de=toi=un=vrai=tré=sor 7car=ta=vie=est=si=pré=cieu=se 8et=le=pré=sent=un=ca=deau 7cha=que=jour=née=mer=veil=leu=se 8laube=ap=pel=le=le=re=nou=veau 8sur=le=che=min=de=la=vie 7se=pré=sen=te=le=bon=heur 7il=sof=fre=à=toi=au=jourd=hui 8et=il=vient=ré=jouir=ton=cœur 7il=nexis=te=sur=la=ter=re 7per=son=ne=qui=soit=com=me=toi 8crois=en=toi=et=puis=es=pè=re 8que=tu=fe=ras=des=ex=ploits 7ca=res=se=tou=jours=les=poir 7en=des=len=de=mains=qui=chantent 7ne=ces=se=ja=mais=de=croi=re 8que=la=vie=est=bien=veillan=te 7uni=que=es=tu=i=ci=bas 7viens=ac=cueil=lir=cet=a=mour 7au=fond=du=cœur=cet=te=joie 7de=don=ner=jour=a=près=jour 7tu=es=né=pour=ê=tre=ai=mé 8et=pour=vi=vre=a=vec=pas=sion 8mer=ci=à=toi=dexis=ter 6tu=es=u=ne=bé=né=dic=tion 8Phonétique Comme Une Étoilekɔmə ynə etwalə dɑ̃ lə sjεlty bʁijə syʁ sεtə teʁəta valœʁ ε sɑ̃ paʁεjəta bote εt- εɡzɑ̃plεʁəsε sεllə ki vjɛ̃ dy kœʁbjɛ̃ plys pʁesjøzə kə lɔʁsεtə bote ɛ̃teʁjəʁəfε də twa œ̃ vʁε tʁezɔʁkaʁ ta vi ε si pʁesjøzəe lə pʁezɑ̃ œ̃ kadoʃakə ʒuʁne mεʁvεjøzəlobə apεllə lə ʁənuvosyʁ lə ʃəmɛ̃ də la visə pʁezɑ̃tə lə bɔnœʁil sɔfʁə a twa oʒuʁdɥie il vjɛ̃ ʁeʒuiʁ tɔ̃ kœʁil nεɡzistə syʁ la teʁəpεʁsɔnə ki swa kɔmə twakʁwaz- ɑ̃ twa e pɥiz- εspεʁəkə ty fəʁa dεz- εksplwakaʁεsə tuʒuʁ lεspwaʁɑ̃ dε lɑ̃dəmɛ̃ ki ʃɑ̃tenə sεsə ʒamε də kʁwaʁəkə la vi ε bjɛ̃vεjɑ̃təynikə ε ty isi bavjɛ̃z- akœjiʁ sεt amuʁo fɔ̃ dy kœʁ sεtə ʒwadə dɔne ʒuʁ apʁε ʒuʁty ε ne puʁ εtʁə εmee puʁ vivʁə avεk pasjɔ̃mεʁsi a twa dεɡzistety ε ynə benediksjɔ̃Syllabes Phonétique Comme Une Étoilekɔməy=nə=e=twa=lə=dɑ̃=lə=sjεl 8ty=bʁi=jə=syʁ=sε=tə=te=ʁə 8ta=va=lœʁ=ε=sɑ̃=pa=ʁε=jə 8ta=bo=te=ε=tεɡ=zɑ̃=plε=ʁə 8sε=sεl=lə=ki=vj=ɛ̃=dy=kœʁ 8bj=ɛ̃=plys=pʁe=sjø=zə=kə=lɔʁ 8sε=tə=bo=te=ɛ̃=te=ʁjə=ʁə 8fε=də=twa=œ̃=vʁε=tʁe=zɔʁ 7kaʁ=ta=vi=ε=si=pʁe=sjø=zə 8e=lə=pʁe=zɑ̃=œ̃=ka=do 7ʃa=kə=ʒuʁ=ne=mεʁ=vε=jø=zə 8lobə=a=pεl=lə=lə=ʁə=nu=vo 8syʁ=lə=ʃə=mɛ̃=də=la=vi 7sə=pʁe=zɑ̃=tə=lə=bɔ=nœ=ʁə 8il=sɔ=fʁə=a=twa=o=ʒuʁ=dɥi 8e=il=vjɛ̃=ʁe=ʒu=iʁ=tɔ̃=kœʁ 8il=nεɡ=zis=tə=syʁ=la=te=ʁə 8pεʁ=sɔ=nə=ki=swa=kɔ=mə=twa 8kʁwa=zɑ̃=twa=e=pɥi=zεs=pε=ʁə 8kə=ty=fə=ʁa=dε=zεks=plw 7ka=ʁε=sə=tu=ʒuʁ=lεs=pwaʁ 7ɑ̃=dε=lɑ̃=də=mɛ̃=ki=ʃɑ̃=te 8nə=sε=sə=ʒa=mε=də=kʁwa=ʁə 8kə=la=vi=ε=bjɛ̃=vε=jɑ̃=tə 8y=ni=kə=ε=ty=i=si=ba 8vj=ɛ̃=za=kœjiʁ=sεt=a=muʁ 7o=fɔ̃=dy=kœ=ʁə=sε=tə=ʒwa 8də=dɔ=ne=ʒuʁ=a=pʁε=ʒuʁ 7ty=ε=ne=puʁ=ε=tʁə=ε=me 8e=puʁ=vi=vʁə=a=vεk=pa=sjɔ̃ 8mεʁ=si=a=twa=dεɡ=zis=te 7ty=ε=y=nə=be=ne=dik=sjɔ̃ 8 Récompense Commentaires Sur La Poesie12/04/2021 2010AnyaVos poèmes sont toujours si radieux et si positifs que c’est une jole de les lire Merci12/04/2021 2208MémoQue dire d’autre sinon que c’est une fois de plus un joli poème qui est né de votre plume/Merci Véro Poème ExistencePublié le 12/04/2021 1731 L'écrit contient 165 mots qui sont répartis dans 8 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique. Poete Véro Texte des commentateurs

Cesoir il y a une étoile de plus dans le ciel, Un personnage haut en couleur tel un arc-en-ciel s'est envolé en déployant ses ailes. Tu es parti en fumée Aussi vite que les volutes qui
Idée texte / message > Texte par thème > Texte étoile étoile Idées, modèles et exemples de textes, messages et lettres étoile Exemples et modèle de lettres 828 Lorsque je suis seul le soir et que je regarde le ciel par la fenêtre, je vo... Voir le modèle de texte en entier souhaiter bonne nuit 608 Chaque étoile qui brille dans la nuit qui t'entoure est un bisou que je t'en... Voir le modèle de texte en entier souhaiter bonne nuit 821 Voir le modèle de texte en entier faire un poisson d'avril 314 "L’Étoile brille en la nuit fraîche, Les Anges chantent Gloria » ! ... Voir le modèle de texte en entier souhaiter joyeux noël 715 Que les lumières et les étoiles qui illuminent et scintillent autour de nou... Voir le modèle de texte en entier souhaiter joyeux noël 752 Je suis tellement désolé et regrette énormément mon attitude. Tu ne quitt... Voir le modèle de texte en entier souhaiter bonne nuit 1233 Comment vais-je faire pour passer cette longue nuit sans toi ? Bonne nuit mon... Voir le modèle de texte en entier souhaiter bonne nuit 17 Quand on est aimé, on ne doute de rien. Quand on aime, on doute de tout. C... Voir le modèle de texte en entier mots d'amour pour accompagner des fleurs 236 L’amour qui meut le soleil et les autres étoiles. Citation de Dante No... Voir le modèle de texte en entier déclaration d'amour 273 Peut être qu'ils ne sont pas des étoiles mais plutôt des ouvertures dans l... Voir le modèle de texte en entier condoléances messages et cartes 56 Une maman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dan... Voir le modèle de texte en entier souhaiter une bonne fête des mères 221 Le chagrin est si facile à exprimer et pourtant si difficile à dire. Joni ... Voir le modèle de texte en entier enterrement textes pour accompagner des fleurs 863 A notre sœur tant aimée A mon époux A jamais dans notre cœur Tu nous m... Voir le modèle de texte en entier plaque funéraire 1625 A maman Maman, mon étoile est en fête ! Maman, mon étoile est en fleurs... Voir le modèle de texte en entier souhaiter une bonne fête des mères 106 Une étoile est tombée du ciel et vient d’atterrir dans nos bras avec ... Voir le modèle de texte en entier faire part de naissance 75 Qui a des yeux qui brillent plus que les étoiles ? Qui a un sourire plus r... Voir le modèle de texte en entier faire part de naissance 130 C'est avec énormément de tristesse que nous avons appris le départ de votr... Voir le modèle de texte en entier condoléances messages et cartes
Tantd'étoiles dans le ciel Vois comme elles étincelles Selon une légende d'antan Ce sont les âmes des enfants Morts sans avoir eu le temps De seulement devenir grands Ils surveillent toutes les nuits Leurs parents endormis. Auteur inconnu
Les étoiles accrochent des prénoms aux branches des pommiersLes vergers défient les plus belles couleurs des grandes sommes les créateurs de la formes cavalent les rêves à la poursuite de la moment où je t’ai approchée de traversÀ cause de l’ouragan,Et le cyclone emportait nos paniers à vite petit homme aux jambes de géantAux paroles d’or qui enrichissent la pauvreté apparente des poésie est l’orfèvrerie des damnésEt nous sommes les poètes du matin … In Le pays derrière le chagrin 1979, dans Le jardin des tempêtes 2000, p 44, extrait Né à Tréguier, en Bretagne, en 1953, Yvon Le Men est un poète dont la seule profession est la poésie, qui remplit toute sa vie avec l’écriture, dans la solitude ; et la lecture de ses poèmes et de ceux des autres, dans le partage des rencontres, en Bretagne d’abord, puis à travers le monde. Un pari difficile, mais qui fait de lui un poète libre. À l’image d’un père cantonnier rassemblant les pierres du chemin pour en faire des voies de passage, Yvon Le Men rassemble les mots et, par le chemin de la poésie, devient à son tour passeur de poètes et d’écrivains de tous pays. Il vit à Lannion, son port d’attache, dans les Côtes-d’Armor, où il crée en 1992 des rencontres qu’il intitule Il fait un temps de poème ». Avec Michel Le Bris, il anime le festival Étonnants voyageurs » de Saint-Malo, y créant en 1997 un espace-poésie. Dans La clef de la chapelle est au café d’en face, un recueil de nouvelles publié en 1998, Yvon Le Men écrit à propos de sa ville Je vis à Lannion, une petite ville au bord du monde. Et j’ai besoin des hommes et j’ai besoin des bois ; du marché du jeudi matin où l’on se salue pour un oui et à cause d’un non, de la sterne qui m’invite à partir là où il n’y a personne, sur le chemin de halage ». En 2000 il publie Le jardin des tempêtes, dans lequel il récapitule vingt-cinq années de poésie, de 1971 à 1996, avec un choix de poèmes extraits de recueils souvent épuisés. Il y explore tous les registres dans une quête de l’évidence d’un instant, d’une lumière ou d’une émotion. Voici trois poèmes tirés de cette anthologie. PartirS’il vient sauras-tu le prendre le navire annoncé par les cinq océans…S’il vient sauras-tu l’ennoblir ce bateauDécroche un croissant de luneEt voici une coque longue et fine comme une goéletteTaille quelques rayons de soleilEt voilà un fier trois-mâts qui relève la têteSaisis une étoile filante en volEt tiens bon la barre aux cinq épines de lumièreDéchire la queue d’une comèteEt mets toutes voiles de feu dehorsVers le nordAu pays des couleurs bleues où la neige est blancheOù les troupeaux de rennes traversent les vallées qui descendent dans les fjordsNous donnant la mer à la boucheVers le nord où vagabondent les poésiesQui nous entraînent dans les pays du beau et du bon … In À l’entrée du jour ,1984, poème en cinq chants et un écho, dans Le jardin des tempêtes, 2000, extrait Ou bien cet autre poème, tiré de Quand la rivière se souvient de la source, un recueil publié en 1988. Il est des lieuxqui nous rencontrentsans nous chercherdes lieuxoù voyageaient ces bancs de lumièreparmi les eaux et les arbresentre ta main et la mienne que tu prissoudaincomme la flamme prend dans la branchel’éclaircie prend dans le cielIl est des lieuxque les mots ont envie de gardercomme un prénom protège un enfant de la fouleun petit nom préserve un amour de l’oubliet qui surgissent de ta mémoirecomme l’odeur de l’herbetoujourss’échappe de la pluie In Quand la rivière se souvient de la source, 1988, ibid p. 115 Ou encore ce poème, tiré de La patience des pierres, un recueil publié en 1995, et qui accorde une large place à la Bretagne, à ses paysages et à ses rêves. Enez Aval Il y avaitces murs de pierreoù le vent se brisasur les rêvesdes hommes venusde l’autre côtédes siècleset de la merIl y avait cette croixgrisepar temps de pluieblanche par temps de cielquand la lumière pose son poids de neigesur la terreIl y avait cette île ouverteau jour de l’équinoxeet la fleur fragile parmi le ventforteparmi la vie In La patience des pierres, 1995, ibid. p. 285 En 2004, il publie Un carré d’aube, recueil épuré, avec de nombreux poèmes qui ont la brièveté d’un haïku, comme par exemple celui-ci L’estuaire est tendu / / comme un drap / entre deux rives Ou encore cet autre, dont le dépouillement est également proche de l’épure. Seule la mer éclaire ton visage. Ton corps est dans un pull noir, un pantalon noir. Tes mains sont nues. Je suis près de toi, et tu ne bouges pas. Le matin est nuit est noire, si ce n’est le reflet de l’eau flottant contre la lune. À chaque coup de vague, tes yeux deviennent bleus. Il n’y a de bruit que le vent. D’échos que des étoiles. que je ne t’aurai pas donné la main, nous ne souffrirons pas. À l’aube, l’enfance sera rompue. Qui, le premier, s’est lancé vers l’autre ?La mer, dans le bleu-gris du jour, s’estompe. Le matin, au fond de la baie, réveille les maisons, les mouettes détachées du ciel. Tes cheveux coulent sous mes doigts. In Un carré d’aube, 2004, p. 27 Chambres d’écho, publié en 2008, est un recueil poignant de poèmes sur la mort, l’amour, l’absence et le silence de l’être aimé. Des textes souvent proches du murmure. Le public n’est pas près d’oublier la lecture qu’en a faite Denis Podalydès le 11 mai 2008, pendant le festival Étonnants voyageurs, tant l’émotion était grande. Nous avions la vieentre nouselle coulait entre les riveset nos brasque le temps prenait dans ses brascomme les rives prennent la rivièreles talusle chemincomme ton silence prend la paroleaujourd’hui In Chambres d’écho, 2008, p. 50 Depuis 1990, Yvon Le Men s’est engagé à fond, avec son ami Michel Le Bris, dans l’aventure du festival Étonnants voyageurs, qui réunit chaque année pendant trois jours à Saint-Malo 200 écrivains venus du monde entier et rassemble un public de près de 60 000 personnes. À partir de l’année 2000, le festival se tient également au Mali, à Bamako, où désormais l’expérience se renouvelle tous les deux ans, avec le projet d’en faire un grand rendez-vous de la littérature africaine. Le poème qui suit est extrait d’une Suite sur le Niger, écrite au retour d’un séjour à Bamako, entre février et mai 2003. De l’autre côté du fleuvecomme de l’autre côté de la meril y a un pays où viventde l’autre côté de nos viesdes hommes qui nous habitaient dans les livres d’imageset dans nos peurscomme ma voisinela vieille Marie qui ne parlait que le bretonleur langue était pleine de sonset manquait de disait-on pas à l’époqueque la vieille Marie baragouinaitcausait avec du pain et du vin dans la bouchecomme si cela était possiblene résumait-on pas les multiples langues de l’Afriqueà la seule expression de petit nègrecomme si tous les noirs étaient des l’autre côté du fleuvevit la famille du bozodu pêcheur qui par sa pirogue nous le fait traverseret entre le bambara le français et le sourirenous naviguons. …De l’autre côté du fleuvederrière les roseauxs’éloignent des silhouettes bleues … In Besoin de poème, 2006, p. 233-234, extraits En 2006, Yvon Le Men publie Besoin de poème, qui se présente comme une lettre adressée à son père, qu’il perdit à l’âge de 12 ans. Regard d’un homme sur son passé, ses premiers émois, ses blessures, ses rencontres avec ses trois pères en poésie, Eugène Guillevic, Xavier Grall et Jean Malrieu, ses voyages. Un récit qui mêle sans cesse prose et poésie, et où ses poèmes dialoguent avec ceux des poètes qui l’ont marqué. La mort n’est jamais loin, mais la vie l’emporte. Durant plus de deux ans, de 2006 à 2008, Yvon Le Men rédige une chronique poétique hebdomadaire pour le journal Ouest France, présentant des poètes du monde entier. Il en tire une anthologie Le tour du monde en 80 poèmes, où il partage avec le lecteur plus de trente années de rencontres poétiques. Il porte également une attention toute particulière aux plus jeunes, se rendant volontiers dans les écoles pour travailler la poésie avec eux, animant des ateliers d’écriture. Deux de ses livres sont consacrés à la jeunesse Ouvrez la porte aux loups 1994 et Douze mois et toi 2005. En décembre 2007 le festival franchit cette fois l’océan pour se tenir en Haïti, à Port-au-Prince. Mais la seconde édition fut empêchée par le séisme de janvier 2010 et dut se dérouler à Saint-Malo. Sous le plafond des phrases n’aurait jamais vu le jour, écrit Bruno Doucey dans la présentation de ce recueil dont il est l’éditeur, sans le séisme qui a ravagé Haïti le 12 janvier 2010. Ce jour-là je partais rejoindre le festival Étonnants voyageurs à Port-au-Prince où je pensais retrouver Yvon Le Men. Mais comme moi, ce dernier était resté de l’autre côté de l’océan, valise en main, dans l’incendie des dépêches et le fracas des solitudes. De Lannion, il s’inquiète pour ses amis. Il écrit alors au jeune poète Bonel Auguste une lettre vibrante d’émotions qui se termine par ses mots Je t’attends chez moi. Dans mon pays de pluie et d’arc-en-ciel. » Depuis, les deux hommes se sont retrouvés, en Bretagne et à Haïti, où furent écrits la plupart de ces poèmes… Avec des mots simples, le poète nous rappelle que des hommes rêvent aussi des séismes de la tendresse. » Yvon Le Men a dédié Sous le plafond des phrases, publié en janvier 2013, à son ami haïtien. Les maisons autour de sa maisonsont suspendues entre hier et demainla sienne a résistécomme n’a pas résistéle palais du Présidentle tremblement de terrea préféré le peintre au chef d’Étatle peintre des villes imaginairessuspendues entre ciel et terremais seulement sur la toilequi suspend le tempsle temps d’oublier que le palais du Président n’a pas été rebâtila cathédrale non plusbien sûr il y a les tentes qui grouillentet les gens qui s’entassentles yeux plus vieux que leur âgebien sûr il y a le choléraéparpillé parmi les enfantsqui viennent vers nous un sourire à la bouchebien sûr il y a le manque de toutmais où est le manque du manques’il n’est dans les symboles ?imaginez l’Élysée et Notre Dameà terre pendant deux ansimaginer l’ villes du peintre ont tenu bonsur ses toilesil peint plus que jamaiset plus que jamais il défie le temps … In Sous le plafond des phrases, © Bruno Doucey, p. 50-51, extrait **** Pas de suicide en Haïtidepuis longtempsdes drameslà-baspas de suicidesla vied’abordavant la mortqui tomba ce jour-làpar en dessous et sur des millierscomme une pluie de ballessur un champ de bataillequi rodecomme le brouillardentre deux crimesqui coule dans le grand fleuveArtibonitemais la vied’abordavant la mort … Ibid. p 56-57, extrait **** Dimanche en poésieIls viennentplus nombreux que les livress’écouter parler des livresécouter parler les livresils viennentà la bibliothèque L’étoile filantecomme on va sur la luneet même dans la luneécouter des histoiresen vers et en proseet contre touthistoirede changer de viede comprendre la sienne …dans ce pays de poètesoù les mots passent partoutet résonnent comme les clefsdans les crânes des prisonniersla veille du dernier jourpartout ils ouvrentsur l’ici-bas et le là-hautsur le bleu même dans le noirils ouvrent les images aux mots qu’elles fontdans nos imageset malgré le peu de livresqui s’appuient l’un contre l’autresur les étagèresde la bibliothèque L’étoile filantemalgré leurs pages écornéesleurs couvertures éteintesleurs titres oubliésleur encre moisiemalgré leur fatigueles mots de leurs pagesveillent au grainde lumièrequi s’allumeet réveille les rêves endormissous les étoiles filantes Ibid. extraits Bibliographie poétique sélective La patience des pierres suivi de L’échappée blanche, © Rougerie, 1995 Il fait un temps de poème, anthologie, © Filigranes, tome 1, 1996 ; tome 2, 2013 L’écho de la lumière, © Rougerie, 1997 Le jardin des tempêtes, choix de poèmes 1971-1996, © Flammarion, 2000 ; rééd. 2012 Un carré d’aube, © Rougerie, 2004 Besoin de poème, Lettre à mon père, © Seuil, 2006 Chambres d’écho, © Rougerie, 2008 Le tour du monde en 80 poèmes, anthologie, © Flammarion, 2009 ; rééd. 2012 À louer chambre vide avec personne seule, © Rougerie, 2011 Sous le plafond des phrases, © Bruno Doucey, 2013 Internet Yvon Le Men sur le site Étonnants voyageurs Lecture de Chambres d’écho par Denis Podalydès sur le site Étonnants voyageurs durée 30 minutes Contribution de Jacques Décréau

leciel n'a jamais été aussi beau qu'il n'est aujourd'hui une nouvelle étoile là-haut comme un soleil en pleine nuit. un nouvel ange est monté pourquoi m'as tu laissée ? tu veilles sur moi maintenant les choses ne seront plus jamais comme avant. dans mes yeux la tristesse de ne plus pouvoir avoir ta tendresse mes armes se sont rabattues pour laisser couler mes

Une POESIE SUR LES ETOILES car j'aime contempler le ciel tout simplement... LA POESIE DANS LA NUIT ETOILEE Là où mes pas m'ont guidé tout là-haut, Pour voir plus haut et toujours plus beau ! Le silence s'endort enlacé avec la nuit, Et les étoiles nous dévoilent leurs rêves inouïs. Une nuit enténébrée de nuages dénudée, Sur une étoile diamantée, le regard posé, Aimanté, étiré et de mille feux extasié, Le coeur boutonné dans la toile étoilée, Etoiles fuyantes, étoiles fardées, Etoiles filantes, étoiles poudrées, Eclairez de transparence nos nuits ombrées ! Envoutez nos rêves, bercez nos secrets ! Inondez nos coeurs entreouverts, De votre grâce rayonnante à la nuit tombée, Illuminez nos regards ô combien fascinés Par vos lueurs comme des iris argentés, Inspiration magnifiée pour le rêveur, Face à cet éventail de petits soleils émiettés, Si la terre tourne et se retourne ensommeillée Glisser doucement dans les draps du ciel étoilé, Rêver que le temps puisse un moment s'égarer, Dans le labyrinthe de la galaxie infinie, Pour nous suspendre au coeur des étoiles, Et prolonger notre regard ébahi, Hors du temps, là-haut, tout là-haut ! Là où mes pas m'ont guidé pour rêver tout haut, Un soir, au coeur de la montagne silencieuse, Là où le ciel respire de lumière gracieuse, ...jusqu'au bout de la nuit étoilée ! Capucine
Sifflait; sur le verglas, dans des lieux inconnus, On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus. Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre : C'était un rêve errant dans la brume, un mystère, Une procession d'ombres sous le ciel noir. La solitude vaste, épouvantable à voir, Partout apparaissait, muette vengeresse.
Blog Coaching & développement personnel Temps de lecture 2 minutesPartageons nos étoiles Il était une fois une petite étoile haut perchée dans le ciel… Elle était magnifique et brillait de mille feux pour tous les passants de la terre ! Plus les gens de la terre la fixait, émerveillés, plus elle fixait sa lumière dans leur vie. Mais un jour, lasse des têtes baissées des habitants de la terre, notre jolie étoile se décrocha du ciel et tomba sur la terre. Elle se trouva égarée en plein champ. Qui pourrait la voir maintenant ? Une pauvre femme, toute occupée à ramasser des branches mortes pour chauffer la maison, aperçut quelque chose qui brillait un peu. La femme s’approcha doucement… et de ses mains délicates, elle écarta la terre qui écrasait la malheureuse étoile. Elle découvrit alors une grande lumière qui ne demandait qu’à éclairer la terre et le cœur des hommes. La femme dit Oh ! Comme tu es belle ! Veux-tu venir chez moi ? Tu éclairera mes jours et tu rendras courage à mon mari…» La petite étoile toute soulagée accepta. Abandonnant ses branches mortes, la femme recueillit l’étoile dans ses mains ouvertes et, toute joyeuse, regagna sa maison. A son arrivée chez elle, elle déposa sa précieuse découverte près d’une fenêtre… De retour le soir, le mari s’étonna de la vive clarté qui scintillait sur la fenêtre. En franchissant la porte, il dit Oh ! Comme c’est beau ! Mais que peut bien être cette chose brillante ? D’où vient-elle ? » La femme raconta alors toute l’histoire… ” Elle nous est précieuse cette étoile, dit l’homme. Gardons-la pour nous à l’intérieur de notre maison ! ” ” Non, dit la femme, mettons-la dehors, elle éclairera tous ceux qui passeront près de notre maison.” Et plus l’homme disait ” Gardons-la pour nous ! “, plus la clarté de l’étoile diminuait. Et plus la femme disait ” Mettons-la dehors ! “, plus l’étoile brillait. Alors, d’un commun accord, l’homme et la femme préparèrent une place sur le rebord de la fenêtre et y déposèrent le brillant trésor. Ils l’appelèrent “Espérance”. Depuis ce jour, la petite étoile n’a pas quitté la terre. Elle éclaire de sa douce et puissante lumière tous ceux qui avancent sous son halo… Des STAGES pour mieux se connaître et booster sa confiance en soi Le Parcours du Loup Blanc est un parcours de développement personnel et de coaching spécifiquement élaboré pour les jeunes ados, lycéens, jeunes adultes . ©Parcours du Loup Blanc - Stage confiance en soi estime de soi Transdisciplinaire et progressif, il est adapté à tes besoins. Pourvu d'outils pragmatiques et efficaces, ce coaching PNL te servira autant dans ta vie quotidienne que lors de tes apprentissages. Axé sur la confiance en soi, l'estime de soi, l'affirmation de soi, cette boîte à outils t'ouvre les portes de possibles en te rendant conscient de tes capacités.
Àpartir du système de 40 Eridani, à une distance de 16 années-lumière, le Soleil aurait l'air d'une étoile moyenne d'une magnitude apparente d'environ 3,3 dans la constellation de la Limbes D’une LégendeAu bout du mondeSur cette modeste cornicheRéfléchis et sondeTes récits intérieursCes quelques terres en fricheUn inspirant champ de fleursQue tu délaisses parfoisAu gré de cent aléasEt toi,Quand le sort en décideraQue voudras-tu laisser de toi ?Sur la trace de ton long cheminQue retiendront tes lointains cousins ?Quel est le message cachéQue nous pourrions déchiffrer ?Celui qui t’a fait aiméRendu ivreFait revivreEspérer ?Quelle marque laisseras-tuÀ ces curieux individus ?Seras-tu un généreux personnageAltruiste ouvert au partage ?Un modèle de réussiteQui inspirera quelques suites ?Ou bien une âme heureuseAssagie et pieuse ?Nul ne le saitMais où que se trouve ton parcoursTu as déjà inondé ton monde d’amourPense à tes plus beaux faitsIls te suivront des années aprèsSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Limbes D’une Légendeau=bout=du=mon=de 5sur=cet=te=mo=des=te=cor=niche 8ré=flé=chis=et=son=de 6tes=ré=cits=in=té=ri=eurs 7ces=quel=ques=ter=res=en=fri=che 8un=ins=pi=rant=champ=de=fleurs 7que=tu=dé=lais=ses=par=fois 7au=gré=de=cent=a=lé=as 7et=toi 2quand=le=sort=en=dé=ci=de=ra 8que=vou=dras=tu=lais=ser=de=toi 8sur=la=trace=de=ton=long=che=min 8que=re=tien=dront=tes=loin=tains=cou=sins 9quel=est=le=mes=sa=ge=ca=ché 8que=nous=pour=ri=ons=dé=chif=frer 8ce=lui=qui=ta=fait=ai=mé 7ren=du=i=vre 4fait=re=vi=vre 4es=pé=rer 3quel=le=mar=que=lais=se=ras=tu 8à=ces=cu=rieux=in=di=vi=dus 8se=ras=tu=un=gé=né=reux=per=son=nage 10al=truis=te=ou=vert=au=par=tage 8un=mo=dè=le=de=réus=si=te 8qui=ins=pi=re=ra=quel=ques=suites 8ou=bien=u=ne=â=me=heu=reuse 8as=sa=gie=et=pieu=se 6nul=ne=le=sait 4mais=où=que=se=trouve=ton=par=cours 8tu=as=dé=jà=i=non=dé=ton=monde=da=mour 11pen=se=à=tes=plus=beaux=faits 7ils=te=sui=vront=des=an=nées=a=près 9Phonétique Limbes D’une Légendeo bu dy mɔ̃dəsyʁ sεtə mɔdεstə kɔʁniʃəʁefleʃiz- e sɔ̃dətε ʁesiz- ɛ̃teʁjœʁsε kεlk teʁəz- ɑ̃ fʁiʃəœ̃n- ɛ̃spiʁɑ̃ ʃɑ̃ də flœʁkə ty delεsə paʁfwao ɡʁe də sɑ̃t- aleae twa,kɑ̃ lə sɔʁ ɑ̃ desidəʁakə vudʁa ty lεse də twa ?syʁ la tʁasə də tɔ̃ lɔ̃ ʃəmɛ̃kə ʁətjɛ̃dʁɔ̃ tε lwɛ̃tɛ̃ kuzɛ̃ ?kεl ε lə mesaʒə kaʃekə nu puʁʁjɔ̃ deʃifʁe ?səlɥi ki ta fε εmeʁɑ̃dy ivʁəfε ʁəvivʁəεspeʁe ?kεllə maʁkə lεsəʁa tya sε kyʁjøz- ɛ̃dividys ?səʁa ty œ̃ ʒeneʁø pεʁsɔnaʒəaltʁɥistə uvεʁ o paʁtaʒə ?œ̃ mɔdεlə də ʁeysitəki ɛ̃spiʁəʁa kεlk sɥitə ?u bjɛ̃ ynə amə œʁøzəasaʒi e pjøzə ?nyl nə lə sεmεz- u kə sə tʁuvə tɔ̃ paʁkuʁty a deʒa inɔ̃de tɔ̃ mɔ̃də damuʁpɑ̃sə a tε plys bo fεil tə sɥivʁɔ̃ dεz- anez- apʁεSyllabes Phonétique Limbes D’une Légendeo=bu=dy=mɔ̃=də 5syʁ=sε=tə=mɔ=dεs=tə=kɔʁ=niʃə 8ʁe=fle=ʃi=ze=sɔ̃=də 6tε=ʁe=si=zɛ̃=te=ʁj=œ=ʁə 8sε=kεl=kə=te=ʁə=zɑ̃=fʁi=ʃə 8œ̃=nɛ̃s=pi=ʁɑ̃=ʃɑ̃=də=flœ=ʁə 8kə=ty=de=lε=sə=paʁ=fwa 7o=ɡʁe=də=sɑ̃=ta=le=a 7e=twa 2kɑ̃=lə=sɔʁ=ɑ̃=de=si=də=ʁa 8kə=vu=dʁa=ty=lε=se=də=twa 8syʁ=la=tʁasə=də=tɔ̃=lɔ̃=ʃə=mɛ̃ 8kəʁə=tjɛ̃=dʁɔ̃=tε=lwɛ̃=tɛ̃=ku=zɛ̃ 8kεl=ε=lə=me=sa=ʒə=ka=ʃe 8kə=nu=puʁ=ʁj=ɔ̃=de=ʃi=fʁe 8səl=ɥi=ki=ta=fε=ε=me 7ʁɑ̃=dy=i=vʁə 4fε=ʁə=vi=vʁə 4εs=pe=ʁe 3kεl=lə=maʁ=kə=lε=sə=ʁa=ty 8a=sε=ky=ʁjø=zɛ̃=di=vi=dys 8sə=ʁa=ty=œ̃=ʒe=ne=ʁø=pεʁsɔnaʒə 8al=tʁɥs=tə=u=vεʁ=o=paʁ=taʒə 8œ̃=mɔ=dε=lə=də=ʁe=y=sitə 8ki=ɛ̃s=pi=ʁə=ʁa=kεl=kə=sɥitə 8u=bjɛ̃=y=nə=a=mə=œ=ʁøzə 8a=sa=ʒi=e=pj=ø=zə 7nyl=nə=lə=sε 4mε=zukə=sə=tʁu=və=tɔ̃=paʁ=kuʁ 8ty=a=de=ʒa=i=nɔ̃=de=tɔ̃mɔ̃də=da=muʁ 10pɑ̃=sə=a=tε=plys=bo=fε 7il=tə=sɥi=vʁɔ̃=dε=za=ne=za=pʁε 9 Historique des Modifications Récompense Poesie sans commentaire30/08/2022Poeme-FranceEn mettant un commentaire, vous pourrez exprimer sur cet écrit votre ressenti, un encouragement, un conseil ou simplement dire que vous l'avez plus si vous écrivez aussi sur le site, vous gagnerez des liens vers vos écrits...Pour mettre des commentaires vous devez être membre ou poète du site. Un simple inscription suffit pour le devenir. Poème DestinPublié le 24/08/2022 1952 L'écrit contient 142 mots qui sont répartis dans 5 strophes. Poete Antigone
\n une etoile de plus dans le ciel poeme

Decette faute impardonnable qu’est celle de t’avoir tué Toi avec qui je regardais le ciel Les étoiles parsemmées de ton grain de sel Celui qui me faisait rire ou

Un poète doit laisser des traces de son passage, non des preuves. Seules les traces font rêver ». La Parole en archipelPour qui s’engage patiemment et sans arrière-pensée dans la lecture approfondie de l’œuvre de René Char, le voyage en vaut la peine. À l’image de son auteur, qui fut un grand résistant, on est devant une poésie qui résiste, qui se conquiert et se gagne, comme une Terre Promise à qui veut la l’un de ses poèmes les plus connus, Le requin et la mouette 1947, Char écrit Hier, le requin et la mouette ne communiquaient pas ». Mais pour lui, la poésie a tous les pouvoirs, même celui de permettre la communication entre le requin et la mouette. Sa poésie a l’audace de tous les raccourcis. Elle tient de l’éclair. Elle a la splendeur de l’étoile Char est né en 1907, dans le Vaucluse, à l’Isle-sur-la-Sorgue, dont son père était le maire. Après des études secondaires en Avignon, une jeunesse agitée et révoltée, une école de commerce à Marseille, il monte à Paris, rejoindre Éluard, auquel il sera lié par une fidèle 1929, il adhère au groupe surréaliste. Avec Éluard et Breton, il écrit Ralentir travaux 1930 et fonde avec eux le surréalisme au service de la révolution ». Mais dès 1934, il s’éloigne du groupe, publiant Le Marteau sans maître. La même année il découvre l’œuvre du peintre Georges de La en Alsace en 1939, il regagne le Vaucluse après la déroute de 1940. En 1941, il entre dans la Résistance. Sous le nom d’Alexandre, il dirige le réseau Action, dans le secteur de la Durance, où il rassemble des munitions, organise des parachutages et des sabotages. Volontairement, au cours de la guerre il ne publie rien, mais rédige un carnet de notes, où il consigne ses réflexions sur sa vie de résistant, et qu’il publie en 1946, sous le titre Feuillets d’Hypnos, dont voici le fragment 178 La reproduction en couleurs du Prisonnier de Georges de La Tour que j’ai piquée sur le mur de chaux de la pièce où je travaille, semble, avec le temps, réfléchir son sens de notre condition. Elle serre le cœur mais combien désaltère ! Depuis deux ans, pas un réfractaire qui n’ait, passant la porte, brûlé ses yeux aux preuves de cette chandelle. La femme explique, l’emmuré écoute. Les mots qui tombent de cette terrestre silhouette d’ange rouge sont des mots essentiels, des mots qui portent immédiatement secours. Au fond du cachot, les minutes de soif de la clarté tirent et diluent les traits de l’homme assis. Sa maigreur d’ortie sèche, je ne vois pas un souvenir pour la faire frissonner. L’écuelle est une ruine. Mais la robe gonflée emplit soudain tout le cachot. Le Verbe de la femme donne naissance à l’inespéré mieux que n’importe quelle à Georges de La Tour qui maîtrisa les ténèbres hitlériennes avec un dialogue d’êtres Feuillets d'Hypnos, © La Pléiade, la Libération, ayant renoncé à toute carrière politique, il fait paraître deux recueils, qui établissent sa renommée, Seuls demeurent 1945 et Le poème pulvérisé 1947, bientôt réunis sous le titre Fureur et mystère 1948. Puis il publie Les Matinaux 1950, Recherche de la base et du sommet 1955, La Parole en archipel 1962. En souhaitant faire jouer à Avignon une pièce de théâtre qu'il venait d'écrire et en mettant en relation ses amis Christian et Yvonne Zervos et Jean Vilar, il est à l'origine, en 1947, du premier Festival de théâtre d'Avignon. En 1965, il organise une campagne de manifestations contre l’installation de fusées atomiques sur le plateau d’Albion, en Haute-Provence. En mai 1968, une hémorragie cérébrale le frappe gravement ; mais par bonheur il peut continuer d’écrire et publie Le nu perdu 1971 et Aromates chasseurs 1976. En 1978, il quitte Paris, pour regagner l’Isle-sur-la-Sorgue. La même année, il subit un grave accident cardiaque L’homme se défait aussi sûrement qu’il fut jadis composé. La roue du destin tourne à l’envers et ses dents nous déchiquettent », 1982, le musée René Char est inauguré à l’Isle-sur-la-Sorgue. En 1983, ses œuvres complètes sont publiées dans La Pléiade. Il rend un ultime hommage à sa région natale avec Les Voisinages de Van Gogh 1985, tandis qu’un nouvel accident cardiaque le frappe. Il meurt le 19 février 1988, avant la publication de son dernier recueil, Éloge d’une vie durant il se lia d’amitié avec de nombreux artistes, ses alliés substantiels, comme il les appelle, parmi lesquels Camus, Braque, Nicolas de Staël, Picasso, Miro, Vieira da Silva… et Pierre Boulez qui composa trois Cantates sur ses René Char, tout commence dans l’allégresse d’un matin, à l’instant du premier bonheur sensible, de l’éveil, du jaillissement J’ai pesé de tout mon désir / Sur ta beauté matinale / Pour qu’elle éclate et se sauve ». Sa poésie est celle d’un homme toujours en mouvement, énergique, impatient. Elle bondit, jaillissant avec force, rapidité et violence. Une écriture fulgurante, souvent concise comme l’éclair. D’ailleurs il se définit lui-même, dans Le poème pulvérisé, comme un saxifrage éclaté », un briseur de rochers, un insurgé dont la poésie recèle une puissance explosive, une énergie disloquante, libératrice, capable de faire voler en éclats nos certitudes, comme le gel peut faire éclater la roche. Pour lui, la poésie est une arme véritable, comme une grenade, dont nous recueillons les pépins éclatés que sont ses poèmes. Une écriture à fragmentation, comme les 237 fragments de Feuillets d’Hypnos, écrits en plein maquis, petits blocs autonomes de langage, éparpillés, émiettés, pulvérisés, dont voici quelques extraits - Le temps n’est plus secondé par les horloges, dont les aiguilles s’entre-dévorent aujourd’hui sur le cadran de l’homme. fragment 26 - L’adoration des bergers n’est plus utile à la planète 31- Si l’homme parfois ne fermait pas souverainement les yeux, il finirait par ne plus voir ce qui vaut d’être regardé 59- Notre héritage n’est précédé d’aucun testament 62 - Nous errons auprès des margelles dont on a soustrait les puits 91- À tous les repas pris en commun, nous invitons la liberté à s’asseoir. La place demeure vide, mais le couvert est mis. 131- Serons-nous plus tard semblables à ces cratères où les volcans ne viennent plus et où l’herbe jaunit sur sa tige ? 147- Voici l’époque où le poète sent se dresser en lui cette méridienne force d’ascension. 162- Le fruit est aveugle. C’est l’arbre qui voit. 165- Être du bond. N’être pas du festin, son épilogue 197- Dans nos ténèbres, il n’y a pas une place pour la Beauté. Toute la place est pour la Beauté. 237Pour René Char, la poésie représente l’activité par excellence. Sans elle, le monde reste plongé dans les ténèbres. La lumière tombe du poème sur les choses, les mettant à leur place. Le poème, conjuguant les éléments premiers par une sorte d’alchimie, les transforme en poussière d’or. Il est le creuset où les cendres du quotidien sont portées à l’incandescence. Et leur rayonnement lumineux métamorphose durablement nos ténèbres. Sa poésie, parsemée d’aphorismes et de sentences brèves, qui scintillent comme une multitude d’astres dans la voie lactée, a la splendeur d’une pluie d’étoiles filantes, dont les traces nous font poésie pleine d’espoir, bien que sans illusion sur les hommes. Une poésie qui désire intensément et interpelle avec force À chaque effondrement des preuves, le poète répond par une salve d’avenir » Seuls demeurent, 1945.Redonnez-leur…Redonnez-leur ce qui n’est plus présent en eux,Ils reverront le grain de la moisson s’enfermer dans l’épi et s’agiter sur l’ de la chute à l’essor, les douze mois de leur visage,Ils chériront le vide de leur cœur jusqu’au désir suivant ;Car rien ne fait naufrage ou ne se plaît aux cendres ;Et qui sait voir la terre aboutir à des fruits,Point ne l’émeut l’échec quoiqu’il ait tout Fureur et mystère, Les loyaux adversaires, © La Pléiade, Le poète se remarque à la quantité de pages insignifiantes qu’il n’écrit pas », déclare, non sans humour, René Char À une sérénité crispée. Avec le poème, on passe de l’existence à l’être. Et notre éventuelle difficulté à lire cette poésie est à la mesure de la distance où nous nous trouvons de l’être. C’est une sorte de critère la poésie de Char n’est opaque qu’à ce qui est opaque en nous. D’où nos difficultés, et non son prétendu présenceTu es pressé d’écrireComme si tu étais en retard sur la en est ainsi fais cortège à tes de transmettreTa part de merveilleux de rébellion de tu es en retard sur la vieLa vie inexprimableLa seule en fin de compte à laquelle tu acceptes de t’ qui t’est refusée chaque jour par les êtres et par les chosesDont tu obtiens péniblement de-ci de-là quelques fragments décharnésAu bout de combats sans d’elle tout n’est qu’agonie soumise fin tu rencontres la mort durant ton labeurReçois-la comme la nuque en sueur trouve bon le mouchoir arideEn t’ tu veux rireOffre ta soumissionJamais tes as été créé pour des moments peu disparais sans regretAu gré de la rigueur suivant quartier la liquidation du monde se poursuitSans interruptionSans la poussièreNul ne décèlera votre Moulin premier 1936, Dans l’Atelier du poète, coll. Quarto, © Gallimard, 1996, p. 250-251Tout est dit en quelques mots dans ce poème l’impatience du poète. Les trois dimensions de sa poésie, avec sa part de rêve, de révolte et d’engagement. Le défi en face duquel il se trouve transmettre l’inexprimable. Le double mouvement de destruction et de fécondité. Le tout concernant un être d’exception, capable de rester dans l’ son style profondément original, la violence et l’intensité de ses images, René Char a rénové la poésie moderne. Unanimement reconnu, il demeure l’un des rares auteurs à avoir été publié dans La Pléiade de son vivant. En 1957, Albert Camus lui rendit hommage à Stockholm, déclarant que depuis Apollinaire, il n’y avait pas eu dans la poésie française une révolution comparable à celle qu’a accomplie René Char. » Sur sa tombe, à l’Isle-sur-la-Sorgue, sont gravés ses propres mots Si nous habitons un éclair, il est au cœur de l’éternité ». **** Nicolas de StaëlLe champ de tous et celui de chacun, trop pauvre, momentanément abandonné. Nicolas de Staël nous met en chemise et au vent la pierre l’aven des couleurs, il la trempe, il la baigne, il l’agite, il la toiliers de l’espace lui offrent un toile de rocher, qui frémis, montrée nue sur la corde d’amour !En secret un grand peintre va te vêtir, pour tous les yeux, du désir le plus entier et le moins Recherche de la base et du sommet, II Alliés substantiels, © La Pléiade, ****La chambre dans l’espaceTel le chant du ramier quand l’averse est prochaine – L’air se poudre de pluie, de soleil revenant –, je m’éveille lavé, je fonds en m’élevant ; je vendange le ciel contre toi, je meus ta liberté. Je suis un bloc de terre qui réclame sa gorge menuisée plus radieuse que la tienne ? Demander c’est mourir !L’aile de ton soupir met un duvet aux feuilles. Le trait de mon amour ferme ton fruit, le suis dans la grâce de ton visage que mes ténèbres couvrent de il est beau ton cri qui me donne ton silence !In Les Matinaux, La Parole en archipel, © La Pléiade, sélective Ralentir travaux, en collaboration avec Breton et Éluard, © Éditions surréalistes, 1930 Le Marteau sans maître, © Éditions surréalistes, 1934 Seuls demeurent, © Gallimard, 1945 Feuillets d’Hypnos, © Gallimard, 1946 Le poème pulvérisé, © revue Fontaine, 1947 Fureur et mystère, poèmes de 1945 à 1948, © Gallimard, 1948 Les Matinaux, © Gallimard, 1950 À une sérénité crispée, © Gallimard, 1951 Lettera amorosa, © Gallimard, 1953 Recherche de la base et du sommet, © Gallimard, 1955 La Parole en archipel, © Gallimard, 1962 Dans la pluie giboyeuse, © Gallimard, 1968 Le nu perdu, © Gallimard, 1971 Aromates chasseurs, © Gallimard, 1976 Chants de la Balandrane,© Gallimard, 1977 René Char, Œuvres complètes, par Jean Roudaut, La Pléiade, © Gallimard, 1983 / rééd. 1995 Les Voisinages de Van Gogh, © Gallimard, 1985 Éloge d’une Soupçonnée, © Gallimard, 1988 Le René Char de René Char - Chloé Poizat, © Mango jeunesse, album Dada, 2001 Et dans la collection Poésie/Gallimard Fureur et mystère, préface d’Yves Berger, 1966 Les Matinaux, suivi de La Parole en archipel, 1969 Recherche de la base et du sommet, 1971 Le nu perdu, 1978 Éloge d’une Soupçonnée, précédé d’autres poèmes 1973 - 1987, 1989 La Planche de vivre, traductions en collaboration avec Tina Jolas, 1995 En trente-trois morceaux, et autres poèmes, suivi de Sous ma casquette amarante, 1997 Lettera amorosa, illustrations de Georges Braque et Jean Arp, 2007 Autour de l’auteur René Char, par Pierre Guerre, coll. Poètes d’Aujourd’hui n° 22, © Seghers, 1971 René Char en ses poèmes, par Paul Veyne, coll. Essais », © Gallimard, 1990 René Char, La Sorgue et autres poèmes, anthologie établie par Marie-Claude Char et Paul Veyne, © Classiques Hachette, 1994 René Char, Dans l’atelier du poète, par Marie-Claude Char, coll. Quarto, © Gallimard, 1996 L'éclair au front, la vie de René Char de Laurent Greilsamer, © Fayard, 2006 Pays de René Char, par Marie-Claude Char, © Flammarion, 2007 René Char, le catalogue de l’exposition, © BNF/Gallimard, 2007 René Char, un film de Jérôme Prieur – Un DVD Arte vidéo, 2006 Internet Un article sur Wikipédia Souvenirs de José Corti Sur Esprits nomades Contribution de Jacques Décréau cYdqF.
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