Cesquelques mots Queste poche parole Sur cette page Su questa pagina Ces quelques mots Queste poche parole Trop vite écrits Troppo in fretta scritto Quant un amour se meurt Come l'amore sta morendo En faut-il davantage Abbiamo bisogno di più Se meurt Dies Quant un amour se meurt Come l'amore sta morendo Si j'ai trop cru en notre amour
Bien avant de commencer par questionner le roman d’Anny Duperey[1] intitulé Je vous écris…, il conviendrait d’abord de présenter brièvement son roman autobiographique Le Voile noir, qui a été publié une année avant en 1992 et qui nous éclaire sur une part très importante de la vie de l’auteure. Quel est le rapport, diront certains, entre ces deux ouvrages ? Il ne s’agit certainement pas d’une question de succession ou de romans qui, chronologiquement parlant, se rapprochent même si plusieurs critiques ont vu dans Je vous écris… la suite » du Voile noir, terme fortement récusé par l’auteure qui y voyait plutôt une sorte de conséquence. Ce qui m’intéresse et qui est bien plus subtil, c’est que Le Voile noir détient la clef de voûte qui nous permet, en tant que lecteurs, de pénétrer dans le monde d’enfance de l’auteure et qui facilite ainsi la compréhension de ce qui nous est rapporté dans Je vous écris… Le Voile noir est le récit d’une petite fille de huit ans qui a retrouvé ses parents morts asphyxiés au monoxyde de Carbone dans leur salle de bain en 1955. Depuis ce jour, elle porte en elle l’image effroyable de cette scène ainsi qu’une immense culpabilité rendant impossible l’accomplissement de son deuil. Toute son enfance qui a précédé cet événement fût complètement occultée de sa mémoire. En écrivant ce livre, Anny Duperey croyait que l’écriture serait pour elle une catharsis mettant fin à cette douleur qui l’étouffe depuis plus de 35 ans. Mais, elle dût se rendre aussi vite à l’évidence que cet apaisement fût de très courte durée, car un an après s’est imposé à elle la nécessité d’écrire Je vous écris… Je vous écris… est, quant à lui, un récit qui retrace l’année qui a suivi la publication du Voile noir l’ après-accouchement », comme le qualifie l’auteure. Face aux multiples photos qui jalonnent le premier ouvrage et qui ont toutes été prises par Lucien Legras – qui est le père de l’écrivaine -, plusieurs extraits de témoignages et de lettres figurent dans le deuxième. Toutes ces missives ont été envoyées par des lecteurs qui ont été d’une façon ou d’une autre touchés par ce qu’a écrit l’écrivaine. Ne pouvant certainement pas répondre séparément et de façon personnelle à chaque courrier, Anny Duperey choisit d’écrire ce livre qui a une forme unique, car il renferme non seulement la voix de l’auteure, mais également toutes celles provenant de l’extérieur, à savoir celles de ses lecteurs. Je poserai donc une double question à ce texte. D’abord, comment est-ce que la réception de la voix singulière de l’auteure par ses lecteurs a-t-elle favorisé la constitution d’un lieu de rencontre ou d’interaction entre voix voire même de partage » ? Et ensuite, dans quelle mesure ce kaléidoscope de voix humaines » participe-t-il à la mise en avant d’une voix commune dès lors que la parole de soi se fait la parole de l’autre ou des autres ? Pour répondre à ces questions, j’interrogerai d’une part la matière même du livre et son mode de narration. Puis d’autre part, j’examinerai de près cette mise au jour d’une voix partagée qui surgit progressivement au fil du récit et qui donne lieu à une part d’ identité partagée ». La matière du livre et son mode de narration En se penchant sur Je Vous écris…, nous sommes immédiatement frappés par la forme composite de ce livre qui rassemble, d’un côté, un récit plus ou moins organisé qui suit une évolution clairement perceptible dans le cheminement de la narratrice sur la voie du deuil allant d’une culpabilité et d’un déni catégorique d’accepter la mort de ses parents à un consentement douloureux mais radical, et de l’autre, plusieurs lettres et témoignages qu’elle a reçus de la part de ses lecteurs juste après la publication de son précédent ouvrage. Cependant, il convient de souligner que toutes ces missives ne sont pas séparées catégoriquement du texte bien au contraire, elles sont insérées au sein de la narration créant ainsi des espaces qui fragmentent à la fois le texte et sa lecture. Elles représentent alors une composante à part entière étant donné que le livre prend forme à partir d’elles, tout comme Le Voile noir a pris forme à partir des photographies prises par le père. Nous pouvons certainement y voir dans cette disposition la volonté de l’auteure de mettre sur le même pied d’égalité son texte et le témoignage de ses lecteurs. En effet, le roman fait coexister, et ce de façon explicite, deux voix distinctes. Étant donné qu’il est construit à partir de lettres nous pouvons alors en déduire que les différents épistoliers sont autant de narrateurs. Nous aurons donc d’une part, la voix affirmée d’un narrateur homodiégétique qui s’exprime en recourant à la première personne du singulier je » tout au long du récit et, d’autre part, la voix collective des lecteurs qui est rapportée à travers des lettres dans lesquelles ils témoignent du retentissement qu’a eu sur eux la lecture du Voile noir. Nous pouvons dire que ces voix collectives sont enchâssées dans la voix singulière dans la mesure où elles apparaissent successivement à l’intérieur d’un récit-cadre qui est ici celui de l’auteure, et que c’est bel et bien l’écrivaine qui permet de les introduire – matériellement parlant – dans le corps du texte. Il serait cependant important de préciser que cette répartition est faite de façon équitable de telle sorte qu’aucune voix ne couvre l’autre. Nous avons plutôt l’impression, en lisant ce roman, que les différentes voix se font écho, s’appellent et s’interpellent surtout en ce qui concerne les voix des lecteurs qui présentent une diversité de réactions vis-à-vis d’une seule lecture et qui, nécessairement, se ressemblent à quelques degrés. On aurait certainement pu faire face à un écrivain qui s’efforce de s’imposer en tant qu’instance narrative qui cherche à monopoliser le discours, mais l’intention de Duperey s’inscrit loin de là. L’écrivaine annonce dès le début son désir de ne pas garder ces retours pour elle, mais de partager cette belle écriture sincère » p. 10 qui lui vient certes de l’extérieur, mais qui intérieurement l’affecte. Elle en fait d’ailleurs l’aveu dans les dernières pages du livre en s’adressant intimement à ses lecteurs ceci est aussi votre livre, à égalité avec moi » p. 229. Entre publication et réception, se joue alors l’essentiel de cet échange de paroles. Nous parlons bel et bien d’un échange qu’on peut même aller jusqu’à qualifier de dialogue puisqu’on a deux voix qui communiquent indirectement à travers l’écriture épistolaire. Si l’écrivaine qualifie Le Voile noir de monologue adressé à des lecteurs indistincts » Je vous écris… qui lui, fait intervenir la parole de l’autre, peut effectivement être perçu comme étant un dialogue. Ce même constat est fait par l’auteure qui avance de façon intéressante le dialogue était ailleurs. Il était avec vous, d’une manière ou d’une autre, chacun me donnant ce qu’il avait à me donner, répondant parfois d’une façon incroyablement précise à mes questions, à mes doutes. Indépendamment de ces lettres des inconnus, Je vous écris… peut à lui seul être considéré comme une longue lettre collective une sorte de lettre-réponse, voire un retour de voix ou de parole. Une lettre devrait, par destination, permettre à son auteur de communiquer avec son destinataire. Comme nous l’avons annoncé précédemment, Anny Duperey écrit ce livre pour répondre à tous ces anonymes qui lui ont écrit. Toutes ces marques d’amitié que vous m’avez témoignées », dit-elle, de compréhension, de chaleur ont eu une telle importance pour moi qu’elles m’ont conduite à vous écrire aujourd’hui pour vous faire part d’un projet qui me tient fortement à cœur » p. 9. Son projet est donc clair dès le début écrire un livre où parallèlement elle fait part de son parcours après la publication du Voile noir et répond en grande partie à ses lecteurs tout en y incorporant leurs propres témoignages. L’idée d’interpréter ce livre comme étant une lettre est fortement renforcée par l’épilogue qui annonce d’ores et déjà la nature du récit qui va suivre comme telle. Notons que ce dernier reproduit la forme classique d’une lettre on a une phrase introduisant le destinataire À vous qui m’avez écrit » p. 9 et une formule de politesse inscrite vers la fin Amitié » L’expéditeur est ce je » qui est à coup sûr Anny Duperey dont le nom préfigure sur la couverture du livre. Nous remarquons que les lecteurs sont présents dès le début non seulement en tant que destinataire de l’épilogue dans lequel un je » s’adresse directement à un vous » renvoyant à ceux qui ont envoyé les lettres[2], mais aussi dans la place qu’ils occupent dans le titre même de l’ouvrage qui instaure dès la première heure un certain rapprochement entre ces deux voix. Le recours constant d’Anny Duperey au pronom personnel vous » ainsi qu’à la forme impérative indique fort judicieusement le mode de fonctionnement trop direct qu’elle adopte vis-à-vis de ses lecteurs. C’est pour cette raison que le texte peut être perçu comme étant un discours oral directement adressé à un destinataire particulier. Toutefois, aucune lettre ne mentionne le nom de son destinateur, aucune information sur le lieu ou la date n’est également indiquée. Tout a été supprimé volontairement par l’écrivaine qui a conclu un genre de pacte avec son lecteur dès la préface en lui annonçant qu’elle préservera son anonymat et qu’il ne sera BIEN SUR, CITE AUCUN NOM, AUCUNE DATE, RIEN QUI PUISSE PERMETTRE A QUICONQUE DE [LE] RECONNAÎTRE » C’est uniquement l’objet des lettres, ou disons plutôt toutes les paroles de remerciement, d’encouragement, d’affection, de confidence, etc. provenant de ces missives qui intéressent l’auteure. Il est fort probable que Duperey ne pouvait pas insérer tous les messages qu’elle a eu en retour et qu’elle aurait certainement dû en sélectionner ceux qui lui parlaient le plus. Dans tous les cas, ce qui comptait pour elle, c’était de faire dialoguer sa voix avec celle de ses lecteurs et de faire participer » ces deux discours dans la création d’un seul et même ouvrage. Le livre apparaît ainsi comme un terrain de rencontre, une œuvre commune où s’entrecroisent plusieurs voix différentes, un support rassemblant un florilège de voix provenant du dedans et du dehors et qui circulent ouvertement entre elles. C’est cet aspect du livre comme étant une création à plusieurs, qui se trouve commenté par l’écrivaine quand elle rappelle au tout début qu’ il s’agirait d’une participation tout à fait anonyme à un kaléidoscope de voix humaines qui viendraient en contrepoint d’un texte que j’ai commencé à écrire et dans lequel je raconte tout simplement, longue lettre à vous adressée, ce qui m’est advenue – moralement, bien sûr – au sujet du deuil, dès le moment où j’ai posé le stylo après avoir écrit le dernier mot du Voile noir et pendant un an environ après. D’après cette citation, Je vous écris… se propose de se faire entendre comme un récit qui fait participer plusieurs voix ou comme une expérience d’écriture conjointe entre auteure et lecteurs. Tout un kaléidoscope de voix humaines », comme le signale si bien l’écrivaine, se trouve rassemblé d’une lettre à l’autre. Ce sont bel et bien les lettres qui composent le récit et qui favorisent cet entrecroisement de voix. En accordant une attention particulière à ce regroupement de différentes paroles, nous allons voir que malgré leurs différences d’origine surtout, c’est-à-dire de provenance, ces dernières se rejoignent également dans la création même d’une voix commune. D’une voix commune à une identité partagée » Mis à part l’aspect formel de ce texte qui organise et distribue partialement la parole entre auteure et lecteurs, on se doit d’admettre que le lien réunissant toutes ces voix est bien plus fort qu’il ne le paraît. En effet, en y prêtant plus d’attention à l’objet de la plupart des lettres, nous remarquons le surgissement d’un grand intérêt de la part des lecteurs. D’ailleurs, Anny Duperey souligne sa grande surprise face aux différentes réactions qu’elle a eues en retour en disant Je n’avais pas pensé du tout, du tout, que des gens, des personnes me répondraient, me parleraient aussi directement, m’offrant sentiment de partage, paroles d’apaisement, mise en garde aussi parfois sur la difficulté du chemin à parcourir encore » Le Voile noir est un récit à travers lequel l’auteure met en avant une sorte de confidence qu’elle a longtemps hésité à diffuser auprès de son public et au cœur de laquelle elle replonge son lecteur dans Je Vous écris…. Quand on parle de confidence, on est forcément amené à faire face à un récit à portée autobiographique, donc personnel dans la mesure où un je » intervient pour faire part de quelque chose d’intime, à savoir quelque chose qui fait partie de son identité et qui lui est propre. Ici, la narratrice relate un drame d’enfance qu’elle a vécu et qui ne cesse de la pourchasser en recourant à une voix nue, c’est-à-dire une voix qui se dévoile tout en se dépossédant de son intimité. De ce fait, plusieurs lecteurs ont exprimé à juste titre leur compassion envers l’auteure. Votre histoire m’imprègne » disait une lectrice. Je chemine à vos côtés et je vous comprends si bien » disait une autre. Ces dernières opèrent ainsi des rapprochements entre l’histoire de cette petite fille de huit ans et la leur. Une expérience affective [3]», pour reprendre l’expression de Vincent Jouve dans son essai L’effet-personnage dans le roman, se trouve ainsi partagée et permet de renforcer le lien qui rattache les deux instances narratives du récit. L’écrivaine a été qualifiée, entre autres, de petite sœur du bout du monde – du bout des larmes – du bout du silence pudique » de sœur en regrets éternels’ » et de personne qui est fragilement proche » de ses lecteurs. Toutes ces appellations accréditent la proximité qui est soulignée dans la majorité des lettres et qui prouve que le lecteur s’identifie au je » autobiographique et qu’il s’actualise dans l’énonciation »[4]. Prenons l’exemple d’un lecteur qui affirme que Je vous écris… a été écrit pour vous, pour nous, pour moi » disait-il. Une autre lectrice va dans le même sens en s’adressant étroitement à l’écrivaine Je ne pourrai plus jamais ouvrir ce livre sans une certaine précaution tant votre douleur est devenue mienne » La voix du je » destinateur et celle du vous » destinataire s’entremêlent en créant ainsi des va-et-vient qui permettent le fusionnement de l’intime et de l’extime, de la voix singulière et de celles des lecteurs. Une forme de reconnaissance se crée petit à petit et c’est bien évidemment le fait de se retrouver ou de retrouver une part de soi dans la parole de l’autre qui permet aux différentes voix de se rencontrer. Le discours de l’écrivaine se fait alors l’écho de plusieurs autres voix jusque-là muettes. Considérant ici ce que disait une lectrice tout en tutoyant l’écrivaine et en la qualifiant de son double » Tu dis des choses que j’ai parfois écrites pour moi seule. Tu fais des gestes que j’ai faits. Cela fait une drôle d’impression de se découvrir un double, quand on croyait sa souffrance profonde si unique et intraduisible. On l’aura bien compris, l’auteure se fait ici un exemple représentatif d’une multitude de voix qui ont, à un moment donné, vécu un traumatisme personnel ou une situation semblable. Ce qui rassemble donc toutes ces voix, c’est le fait d’avoir partagé un même vécu, d’être regroupées sous un même sujet qui peut à la fois appartenir à soi comme aux autres et qui est ici la douleur, le manque et plus particulièrement le deuil. Chaque lecteur a pu donc déchiffrer sa propre histoire dans Le Voile noir puisqu’il s’est senti concerné, voire même impliqué dans ce qui lui a été rapporté d’où il éprouve la nécessité de prendre la plume et de répondre. Une sorte d’ identité partagée » s’instaure donc et se trouve soulignée par les lecteurs. Votre livre fait sauter un verrou que je n’avais simplement jamais perçu », disait un lecteur, entendre, par vos mots, que quelqu’un d’autre que moi a vécu ces émotions-là, me reconnaitre, vibrer en accordage à des sentiments que jusqu’ici, sans me l’être expressément dit, je croyais être le seul à avoir ressentis. Le seul- donc un monstre. Votre livre, au fond, me rend une identité commune » Cette forme d’ identité commune » telle qu’elle apparaît décrite ici, implique que chaque lecteur se retrouvera dans un coin de ce livre. Il se démarquera ainsi de sa propre voix et s’identifiera à la voix de l’auteure tout comme l’auteure disparaîtrait en tant que sujet parlant afin de laisser place à une voix inscrite dans un sorte d’existence partagée et qui s’adresse directement à tous. Nous avons donc l’impression que toutes ces voix se rejoignent afin de donner lieu à une seule voix collective ; une voix qui unit plusieurs personnes à la fois. Nous sommes certes – formellement – en face de deux voix qui s’expriment délibérément dans le texte, mais qui représentent une seule et même voix qui se construit en filigrane. Cette voix universelle se forme et se détermine dans l’entrecroisement de tous ces points de vue invoqués par le texte. Cette interprétation justifie fort logiquement le projet d’écriture de l’auteure qui voulait fusionner à la fois deux voix étrangères mais proches. En ce sens, la suppression des noms des destinateurs des missives peut être lue, sous cet angle-là, comme une stratégie de la part de l’auteure qui ne voulait garder qu’une seule identité ; une identité dans laquelle s’inscrivent toutes ses voix, à savoir une identité partagée ». Cette nécessité ou plutôt ce besoin de partager » une part de la douleur qui se trouve au fin fond de chacun de nous, est un point essentiel chez Duperey. La citation de Simone de Beauvoir qu’elle place en exergue de son livre en est l’ultime révélateur Toute douleur déchire ; mais ce qui la rend intolérable, c’est que celui qui la subit ce sent séparé du monde ; partagée, elle cesse au moins d’être un exil. Ce n’est pas par délectation morose, par exhibitionnisme, par provocation que souvent les écrivains relatent des expériences affreuses ou désolantes par le truchement des mots, ils les universalisent et ils permettent aux lecteurs de connaitre, au fond de leurs malheurs individuels, les consolations de la fraternité[5] Conclusion De telles observations montrent que le dialogue entre auteur et lecteur se fait directement et explicitement dans Je vous écris…. Nous nous retrouvons face à une forme de répartition égalitaire de deux instances narratives qui se présentent comme ayant la même dignité, voire la même importance dans l’espace livre. Ce genre d’écriture à deux nous conduit à repenser la valeur des cloisonnements, du moment qu’auteure et lecteur, intime et extime, privé et public se combinent dans un seul et même dispositif. La fabrication des voix qui peuplent le récit se fait par le biais des lettres qui, en tant que médium intermédiaire, ont favorisé d’une part, la communion du dedans et du dehors, et d’autre part, la reconstitution d’une voix commune, reconnue par tous et qui est la voix de la douleur. Cette voix commune permet à son tour le dépassement des divisions et des séparations tout en donnant naissance à une part d’ identité partagée » qui se trouve incarnée dans ce récit à travers la voix singulière de l’auteure représentative d’un exemple parmi tant d’autres. Je finirai donc sur cette citation d’Anny Duperey dans laquelle elle parle justement d’un sort commun » expression qui éclaire davantage l’ensemble de ces propos Vous m’avez sortie de ma tour d’ivoire pour m’amener dans cette contrée inconnue le sort commun. Petit à petit, je m’y sens chez moi. Je me reconnais en vous comme vous en moi. Je ne suis plus une princesse blessée cloitrée en son mal et qui se hausse de cette certitude d’être unique avec sa douleur. Mon histoire est unique, oui, comme toutes les histoires, mais ma douleur ne l’est pas. Khadija Benfarah Université Paris-Sorbonne CELLF Notes [1] Anny Duperey est une comédienne et écrivaine française. Elle a commencé à écrire dès son jeune âge sous forme de journal intime puis, progressivement, sous forme de livre. La mort accidentelle de ses parents a bouleversé le cours de sa vie, car non seulement elle a été séparée de ses parents, mais également de sa sœur. En effet, aucune des deux familles ne pouvait prendre en charge les deux filles ensemble, d’où l’obligation de se départager la tâche. Anny fût donc élevée par sa grand-mère paternelle tandis que sa sœur a été confiée à sa grand-mère maternelle. Cet événement dramatique l’a encouragée à s’investir dans des associations pour enfants orphelins elle est la marraine de l’association SOS Villages d’enfants. [2] À ce sujet, Alberto Manguel rappelle, dans son livre Une histoire de la lecture, que Tout texte suppose un lecteur ». [3] Vincent Jouve, L’Effet-personnage dans le roman, Paris, PUF, 1992, 1998, p. 134. [4] Expression que nous empruntons à Bloch Béatrice dans son article intitulé La construction de l’émotion chez le lecteur. Immersion et persuasion esthétique », Poétique, 2010/3 n° 163, p. 339-348. DOI URL Consulté le 02/02/2019. [5] Simone de Beauvoir, Tout compte fait, Paris, Gallimard, 1972, coll. Folio », n° 1022, p. 169. Bibliographie Anny Duperey, Le Voile noir, Paris, Seuil, 1992. Anny Duperey, Je vous écris, Paris, Seuil, 1993. Vincent Jouve, L’Effet-personnage dans le roman, Paris, PUF, 1992. Simone de Beauvoir, Tout compte fait, Paris, Gallimard, 1972. Alberto Manguel, Une histoire de la lecture, 1998,. Bloch Béatrice, La construction de l’émotion chez le lecteur. Immersion et persuasion esthétique », Poétique, 2010/3 n° 163, p. 339-348. DOI URL Jesuis convaincu que si vous vous engagez dans le processus d'écriture créative Libère ta parole! votre vie s'en trouvera agréablement améliorée. Vous allez ressentir un sentiment d'avancement et d'accomplissement artistique à 100%, vous gagnerez en confiance et surtout vous verrez une nette amélioration dans votre écriture créative. Description Que dit la poésie ? Je viens sans glaive, sans épée. J’en appelle à l’encre du ciel, au sang des étoiles, au chant de l’alouette, aux couleurs de la criste-marine, à ce caillou blanc où mon nom est incrusté, ici, sur terre où tout n’existe que par le langage et l’expérience d’un cœur à cœur, là, avec quelque chose qui se donne à écouter, respirer, sentir, toucher. En songe, je rejoins ce frémissement de l’eau glissant des mains de la source souveraine, son frêle reflet teinté d’une lueur impalpable. Aussi je m’en reviens à l’aube… au temps du commencement, sommée de déchiffrer ce qui est la Parole où surgit la vie. Et je m’aperçois que ce qui me dépasse et rend grâce est au cœur du vulnérable voire de l’insondable. Quelle sagesse pourra m’introduire alors aux beautés de la Parole ? Qui me fera poème ? Où naîtra l’inflexion de ma voix vous laissant écouter le simple souffle de l’Ange, son élan sans ivresse ? Accueil Mai. Le merle veille la merveille sans falsifier le silence. Je me lève au premier chant de l’oiseau. Ciel sans nuages. Peut-être le passereau attend-il de lire le beau désir de l’aube… Je compte et vois sept étoiles, tels des chandeliers. Là-bas, les champs étendent leurs draps de colzas. Près de la roselière, une chapelle engourdie. Des vernes encore dans l’ombre, et les fiançailles du poème. Il ne faut point recroqueviller ses bras de l’encre et de la feuille. C’est l’heure de tendre les mains, d’accorder un mot de bienvenue à la note inouïe surgissant de la transparence du vide. Écrin matinal. Arbres et parfums alentour de la blanche maison. On entend s’avancer la tendresse du silence. Aurore et patience donnent aux choses un éclat neuf, comme une douce silhouette de femme fait aimer la vie, son immortelle présence. La beauté apparaît au cœur des fleurs. L’ouvrage s’enlumine non par inadvertance mais en reconnaissance. Et lorsque les rousserolles s’abritent dans les coudriers, la création est une, vive, prête à ramager. Le jardin C’est le contraire de la vacance. Il cultive et dispense un bel assortiment de joie. Arôme léger d’un juteux parfum. Once de douceur sur la peau. L’aile d’un oiseau glisse de la branche du sureau. Clarté du bel automne. La rose contemple le papillon qui s’émerveille, se souvenant qu’il fut chrysalide. On s’arrête auprès du vieux mur où la bruyère, couleur d’ombre et de chair, lâche prise. Déjà s’effeuillent les hortensias. On se prend à désirer, curieux d’un manque qui envahit ; on se donne à aimer les rouges mystérieux des allées, les parchemins et tapisseries du décor. Nos pas retenus bruissent de la légèreté du bonheur, surpris de penser que nos parents s’y sont connus et qu’ils vécurent ici, dans le jardin. brève variation sur un chant de Jean Vuaillat Comme une herbe qui se penche à Hélène Cadou Une page soumise au vent… Dans un poème, c’était hier, c’est aujourd’hui et c’est demain déjà pour chaque rencontre, pour chaque fleur, pour cette jeune fille mais aussi pour les pommiers qui allument la voûte de l’humus. Là-bas, les horizons marins au-delà des biefs et des tourbières… Et l’aube au vent salé où s’éprennent les reinettes. Ô lueurs fragiles ! Ô mains blanches du poète ! Recueillement. Ferveur. Éblouissement. Chaque mot danse d’une pudeur extrême, comme une herbe qui se penche. L’aube. Transparence à venir. Admirable poème d’amour enfin reconnu. Chaque pas de son verset se donne à la fragile existence du fil si ténu de la vie et des biens de ce monde nocturne parés d’amitié Informations complémentaires Poids 101 g
Philippe votre vie durant, vous oeuvrez pour LA PERSONNE EN DEVENIR. Il est vrai que je ne connais pas très bien votre travail mais, d'après vos dires et vos écrits, votre personnalité transparait : vous êtes une personne de morale, de parole, d' de lumière et ce, dans tous les sens du terme.
Reprise de messages à un même correspondant. Pourquoi hémiplégie»? Parce que vous n'aurez que la moitié de cette réalité restreinte, notre correspondance. Un bref commentaire en bas de oct. 2019 Par Mustapha HemmamJ'avais commencé une longue réponse mais elle devient inutile la corruption c'est la division, et la division commence quand on croit que ce qu'il y a sur l'étiquette indique ce qu'il y a dans la boîte. Être “dans la croyance” c'est se préparer à être “dans l'erreur“. Mustapha autre étiquette, qui ne dit rien sur ce qui se trouve oct. 2019 Par Mustapha HemmamCher Thomas,Les “crédules” sont intimement incrédules. Croyant et crédule sont des synonymes. Croire ce ce que l'on voit n'est pas une très bonne idée, car les apparences sont trompeusesThomas, appelé Didyme, l’un des douze, n’était pas avec eux lorsque Jésus vint. Les autres disciples lui dirent donc Nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai jours après, les disciples de Jésus étaient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux. Jésus vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d’eux, et dit La paix soit avec vous! Puis il dit à Thomas Avance ici ton doigt, et regarde mes mains; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté; et ne sois pas incrédule, mais crois. Thomas lui répondit Mon Seigneur et mon Dieu! Jésus lui dit Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru!». Jean, 20, 24-29Quand on ne croit que ce qu'on voit, on tend à ne voir que ce qu'on croit. Thomas intervient trois fois dans l'Évangile de Jean, et n'intervient que dans celui-ci; à chaque fois, il doit “voir pour croire”; les première et dernière fois il voit et il croit, la seconde, il ne voit pas donc ne croit pas. Il n'est plus grand incrédule que qui ne croit que ce qu'il voit, de plus grand crédule que qui ne voit que ce qu'il croit Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru!».Vous voyez en un premier temps un premier pseudonyme car il n'est pas de nom propre, de nom qui soit nécessairement lié à soi, tout nom de personne est un pseudonyme “Mustapha Hemmam”, à partir duquel vous faites une hypothèse de possible “musulmanité”; puis un second, “Jean-Marie Martin”, à partir duquel vous faites une hypothèse de “non musulmanité”. La foi réside-t-elle dans le nom de la personne ou dans la personne? Voyant, vous croyez, et vous ne croyez que ce vous croyez voir, or les apparences sont trompeuses tous les assassins “islamistes” qui ont tué en France sont des incrédules crédules, des faux-croyants, qui à la fois ne croient que ce qu'ils voient et ne voient qu ce qu'ils croient. Auraient-ils été des “vrais croyants”, quelle que soit leur croyance, qu'ils n'auraient jamais commis leurs crimes, car quelle que soit celle des trois religions abrahamiques à laquelle on adhère, chacune dit à sa propre manière tu ne tueras auteur fort intéressant, Amine Maalouf, a écrit un livre fort intéressant dont on peut se dispenser de la lecture, Les Identités meurtrières. Il vaut d'être lu mais son titre suffit, le reste n'est que commentaire. Si “Mustapha Hemmam” alors association avec “musulman”, même en croyant mettre de la distance là-dedans; preuve inverse du manque de distance, si “Jean-Marie Martin” alors dissociation d'avec “musulman” donc, un “Jean-Marie Martin” ne peut être supposé “musulman”? La réalité observable démontre que ce n'est pas le cas, qu'on ne peut inférer d'un nom une possible adhésion à une religion ou une “origine religieuse”, ma mère est “chrétienne de souche”, mon père “musulman de souche”, les deux sont “irréligieux par raison et conviction”, quant à moi je suis œcuménique par choix, mon “nom réel”, mon pseudonyme d'état-civil, est un mixte, prénom “chrétien de souche”, patronyme “musulman de souche”, intimement je suis “non religieux”, à Rome je suis chrétien, à la Mecque je suis musulman, car dans tous les cas je suis humain donc je m'accorde à la locale non ce que je crois mais ce que vous croyez. Si par exemple vous croyez qu'un pseudonyme, même d'état-civil, est indicatif d'une possible appartenance religieuse, on en peut déduire que vous n'êtes pas “heureux”, que vous êtes dans l'incertitude quant à vos supposées croyances, car en la matière seuls sont heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru!».Pour une raison que je comprends très bien, beaucoup de mes correspondants, par voie de messagerie ou sur les fils de commentaires, ont une nette tendance à ne voir que ce qu'ils croient, ils voient mon pseudonyme, tantôt “christiano-musulman”, tantôt “Français de souche féminin”, tantôt “musulman de souche masculin”, et à chaque fois ils voient ce qu'ils croient un discours “bipolaire” ou un discours “chrétien féminin”, ou un discours “musulman masculin”, alors que j'écris toujours de la même manière, toujours avec les mêmes présupposés et toujours avec les mêmes propositions explicites. La seule manière consistante de comprendre un discours est de lire ce qui est écrit et non de lire ce qu'on croit y voir écrit. Que je sois “Mustapha Hemmam” ou “Jean-Marie Martin” mon discours reste le même, mais par le simple miracle d'un changement de nom, ce qui était “possiblement musulman” devient tout soudain “impossiblement musulman”. Le changement est-il dans le discours ou dans l"œil de qui le lit? La réponse me semble assez appelé Didyme. Le mot signifie “jumeau”. On peut lire les évangiles comme des récits de vie, des biographies, alors Thomas est un être réel et les anecdotes à son propos exactes; on peut les lire comme des leçons de vie, alors importe de savoir pourquoi Thomas est “le jumeau”. J'ai beaucoup de réponses car j'ai beaucoup de lectures de cet Évangile de Jean, une entre autres est Thomas et moi sommes “le même”, nous sommes “jumeaux“, donc la leçon de Jésus “croire sans voir” vaut pour moi soyons aveugle à ce qui n'a pas d'importance, par exemple un nom, pour ne croire qu'à ce qui importe, par exemple le discours qu'on lit, qui est celui d'un “semblable”, de n'importe qui, Car Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d’Abraham, héritiers selon la promesse» Paul, Épitre aux Galates, 3, 28-29.“Bien lire” c'est lire “comme si on avait écrit” ce qu'on lit, j'ai une couche épaisse de préjugés et de présupposés dans ma besace mais quand je lis, je les mets de côté, ente autres choses le pseudonyme de l'auteur, serait-il d'état-civil, m'indiffère. Et quant à mes possibles lecteurs, on ne peut pas me tenir responsable de leur manière de lire, et des filtres qui leurs servent à “interpréter”, entre autres le “nom de l'auteur”. Comme j'ai un style assez direct, que j'ai parfois qualifié de tranchant, je sais, par les réactions que je suscite, que beaucoup de mes lecteurs croient que mon “tranchant” les vise, alors qu'il ne vise que les faux-semblants, que les discours, que les incohérences dans ces discours. Je n'ai aucun “leçon de morale” à vous donner, je suis bienveillant au sens ou je “veille bien”, d'abord à moi-même, à mon propre discours, ensuite à mes semblables et à leur discours; si m'apparaît un incohérence dans mon propre discours, je le corrige, s'il m'en apparaît dans celui de mes semblables je le leur dis, sans pour cela les “corriger”, leur dire quelle serait la “bonne manière de lire” en un sens moraliste ou moralisateur, il n'y a qu'une seule manière qui soit clairement la bonne, celle de chacun et pour soi, j'invite mes semblables à faire ce que je fais, chercher les incohérences dans son propre discours, et les y trouvant, essayer de résoudre cette discordance en interrogeant ses préjugés et présupposés. Comme je n'ai de leçon de morale à dispenser à personne, il m'indiffère d'être compris, là encore ce n'est pas de ma responsabilité. Par contre, il ne m'indiffère pas de me faire dire “ce que j'ai écrit“ quand je ne l'ai pas écrit, de recevoir une “leçon” sur mon supposé “musulmanisme” ou supposé “non musulmanisme”, non en rapport à ce que j'écris mais en rapport avec le pseudonyme dont je me sers pour tel ou tel de mes écrits. Il ne m'indiffère pas, au mieux il m'agace, parfois il m'énerve, plus rarement mais parfois cela éveille ma colère. Vous m'avez agacé, ce qui n'est pas bien grave ni pour vous ni pour moi, mais le fait est, vous m'avez agacé. Et quand je suis agacé je deviens facilement taquin, et par exemple, propose une lecture “chrétienne” à un discours qui ne l'est pas spécialement, en m'appuyant sur une rhétorique “chrétienne”. Si vous continuez à m'attribuer une supposée “religion” parce que, étant à Rome, je me fais “chrétien”, ce sera votre interprétation, et de cela je ne suis pas responsable. Être “malveillant” c'est “mal veiller”, mal lire la réalité, entre autres la réalité discursive, et à cela je ne puis rien sinon le toute oct. 2019 Par Mustapha HemmamEt allez donc, encore de l'interprétation, encore de la croyance. Mes deux parents? Ceux de la réalité ou ceux du discours? Je suis ce que je suis parce que “mes deux parents”? D'accord, on dira ça. Je leur en parlerai, qu'ils sachent qu'ils sont ce que vous croyez qu'ils sont, qui explique que je suis ce que je oct. 2019 Par Mustapha HemmamCroire ce qu'on ne sait pas n'est pas une idée très pertinente. En toute oct. 2019 Par Mustapha Hemmam...vous risquez fort d'avoir manqué l'apparition de ma réponse dans la liste des pages de commentaires où vous avez passage, je ne suis pas chrétien et même suis totalement agnostique et athée même pas “athée”, l'idée d'un dieu m'est étrangère, par contre j'ai toujours ma Bible avec moi, parce que quand on veut “donner du discernement”, si on est à La Mecque on prend le Coran, si on est à Rome on prend la Bible, pour en tirer les sagesses qui valent dans le contexte où l'on ne parle pas pour vous mais je parle de manière générale, un des plus grands motifs de dissension entre adeptes des diverses religions est de ne pas suivre le conseil qu'elles donnent toutes, Si tu es à Rome, vis en Romain» – et si tu es à La Mecque, vis en Mecquois. Tous les humains ont une même dieu et ce dieu est ce que chacun veut “ailleurs”, mais toutes les religions disent à leur manière que les humains sont “à l'image du dieu”, donc “Dieu sur la Terre” a pour nom Humanité, et chaque humain est un vicaire du dieu. Du même oct. 2019 Par Mustapha petit complément je ne peux pas dire que je “respecte toutes les croyances”, mais je respecte tous les fidèles en leur foi, pour autant que cette foi ne leur soit pas un obstacle pour tendre vers leur prochain. Quand un humain est dans la détresse, on ne lui demande rien, sinon d'accepter librement le secours qu'on peut lui oct. 2019 Par Mustapha HemmamSalut encore,Bon, je ne suis pas chrétien mais comme beaucoup j'ai une certaine connaissance du sujet ce n'est pas mon dieu mais le vôtre dont on dit qu'il a fait l'humain à son image; ce n'est pas mon dieu mais le vôtre qui s'est incarné il y a deux mille ans pour partager notre commune humanité et proclamer que nous sommes tous enfants d'un même père, lequel est indissociable du fils, et que le saint-esprit les relie; cela implique que tous, en communiant en Jésus, sommes chacun et tous dieu sur la Terre, ce qu'indiquait déjà le fait qu'a l'origine nous sommes à son image. Accepter cela et considérer que nous n'avons pas tous le même dieu, c'est incohérent. Ça l'est d'autant plus que toutes les autres religions, quelles qu'elles soient, disent la même chose, disent que nous sommes dieu sur la Terre en tant que participant de sa création, qui est indissociable du ne veux vous obliger à rien mais je vous le certifie, c'est plus confortable de vivre dans la cohérence. Pour exemple, j'ai l'intime conviction que tous les humains sont mes semblables. Je ne suis pas certain que tous les humains partagent cette conviction, mais comme je ne m'arrête pas à ce genre de détails sans importance j'agis envers tous mes semblables en m'en tenant à ma conviction, et vous savez quoi? Jusqu'ici tous ceux que j'ai rencontré ont agi de même envers moi, comme si j'étais leur semblable. Je suis assez imbécile dans mon comportement habituel, j'ai quelques rares convictions et je ne m'en dépars pas, et en général mes convictions se vérifient. Si j'avais une religion, et que celle-ci postulait que, pour citer encore, Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d’Abraham, héritiers selon la promesse», j'en tiendrais compte pour déterminer si oui ou non les humains ont tous le même dieu sous des aspects divers, aussi divers que le sont les humains, dont pas deux ne sont “le même“, y compris les jumeaux de bons amis qui sont des fidèles de diverses religions, certains se désolent de me voir “hors de la communauté de dieu”, ce qui m'a toujours paru étrange, parce que les mêmes me disent que quoi que j'en croies, je suis “en dieu”; bon ben d'accord, je suis “et en même temps” dehors et dedans? Ouais. Si je me respecte et si je respecte mon semblable, ça me suffit. Si celui qui se dit “en dieu” et me dit tel mais ne tient pas compte de sa propre parole, qu'est-ce que j'y peux? Je vais cesser de le penser mon semblable? Impossible les mêmes me disent que nous sommes tous “dans l'erreur”, les chrétiens disent “dans le péché”, ce en quoi je suis d'accord, donc pas la peine de se casser la tête, si nous sommes tous dans l'erreur la mienne ne se nomme pas “Dieu”, voilà ;-5 oct. 2019 Par Mustapha HemmamPuis me permettre de reprendre nos conversations dans un billet qui s'inscrira dans une série en cours? J'effacerai bien évidemment toutes les mentions d'expéditeur. La série s'articule en billets “de réflexions générales”, “de propositions concrètes” et “de discussions faisant converger les réflexions générales et les propositions concrètes”; j'avais besoin d'une discussion accompagnant la dernière paire “réflexion générale” et “proposition concrète”, celle-ci plus celle Corruption» me semblent devoir convenir .Quelle que soit votre réponse, merci pour cet agréable toute oct. 2019 Par Mustapha HemmamImpossible, la réponse est nécessairement globale et simple oui ou de conditions, pas de relecture, sinon ça ne sera qu'une simulation, qu'un faux-semblant de conversation. Et je n'en ferai rien de plus que ce que dit, l'exemple d'une discussion faisant converger une réflexion générale et une proposition concrète. Dès lors que je ne fais pas apparaître quoi que ce soit qui vous relie à cette publication, où est le problème?J'en suis désolé mais je ne suis jamais dans la simulation, dans la dissimulation, je sais que c'est un défaut mais c'est oct. 2019 Par Mustapha HemmamQue votre dernier message est aussi simple que oui. Oui aussi simple que préfère ne pas y aller voir, et vous demande ici une réponse simple oui, ou oct. 2019 Par Mustapha HemmamJ'ai inventé une blague hier, suite à nos échanges sur Mediapart, une blague qui a beaucoup fait rire. Faut dire, je suis un plaisantin et j'ai un certain talent comique, du moins quand je suis l'auteur de mes plaisanteries. La blagueHier, je discutais avec un certain Thomas, et chaque fois que je lui disais quelque chose de vraisemblable ou de certain il me répondait, ceci je ne peux pas y croire, cela je ne peux pas y croire... Au bout d'un moment, je lui dis— Thomas, tu es un incrédule!— Ça je ne peux pas y croire...Croyez-en le témoignage de vos sens, et selon ce que vos sens vous indiquent, croyez en ma fiabilité et mon honnêteté, ou non. Pour ma requête, si vous me supposez fiable et honnête la réponse est oui, sans conditions, au cas contraire la réponse est non. Juste un mot oui, ou non. Toute autre parole serait parole vaine, parole d'incrédule, parole de personne qui n'en croit pas ses sens. Il n'est pire aveugle que qui ne veut pas voir, pire sourd que qui ne veut pas ou J'ai finalement et par hasard vu la réponse que je disais ne pas vouloir voir. Comme je l'anticipais elle n'était pas simple et ne répondait ni par oui ni par non, c'était, pour tout dire, une réponse qui n'en était pas une. Sous les aspects d'une réponse “humoristique” ou “badine” elle était à la limite de l'insulte, puisqu'elle m'obligeait et m'oblige encore à faire selon ce que mon dieu me commande» ce n'est pas la reproduction d'un propos de la personne avec qui je correspondais mais ça en rend l'esprit alors que j'ai assez clairement exposé que je n'ai aucun prétexte qu'on se fait dire que si l'on croit que nous sommes tous enfants d'un même dieu alors tous les humains ont le même dieu pour en une même proposition refuser à un semblable la liberté de croyance ou de non croyance et réfuter son affirmation de l'unicité du dieu auquel on prétend croire est insultant, mais je suis équanime et ne le prend pas pour une insulte, juste pour la preuve de l'incrédulité d'un supposé même j'avais un dieu, il serait semblable à celui de mon correspondant il m'aurait laissé la liberté de mes choix. Me dire Faites selon ce que votre dieu vous commande» c'est me priver de mon libre arbitre car que je publie ou non ses messages, ce sera non selon mon choix mais selon celui de ce “dieu”.Il n'est pire aveugle que qui ne veut voir, pire sourd que qui ne veut entendre, pire borgne que qui ferme volontairement un œil pour ne voir que la moitié de la qui veut.
Message- Je t’écris ces quelques mots pour te souhaiter le plus tendre des anniversaires X . Chercher Citations. Citations d'amour; Citations romantiques; Citation d'adieu; Casser des citations; Citations d'anniversaire; Meilleures citations d'ami; Citation de graduation; Bonnes morning citations; Tu me manques des citations; Merci des citations; Citations de sympathie;
Letra de la canción Je les lue dans vos yeux mes reves d’enfant ne pouvait être qu’un jeux rien d’important L’encre coulait de mes larmes chaque lettres emporter loin de toute vos bataille je deraille C’est un allé sans detour même si j’ai reçu tant d’amour les dès son jeté je cours malgrès moi et tout mes silence sur un bout de papier Je vous écris ces quelques mots ma … puisqu’il le faut Je vous le dit a demi mot je ne renoncerais pas je ne renoncerais pas Je vous écris ces quelques mot que vous lirez le coeur noué Je vous le dit a demi mot et si j’ai tout quitté c’est pour ne rien regretter Je traverse dans le froid tellement d'épreuves je pense a vous quelques fois au tellement de fois maman ne m’en veux pas je sais que tu attendait de moi bien plus de sagesse je te blesse C’est un allé sans detour même si j’ai reçu tant d’amour les dès son jeté je cours malgrès moi et tout mes silence sur un bout de papier Je vous écris ces quelques mots ma … puisqu’il le faut Je vous le dit a demi mot je ne renoncerais pas je ne renoncerais pas Je vous écris ces quelques mot que vous lirez le coeur noué Je vous le dit a demi mot et si j’ai tout quitté c’est pour ne rien regretter Et si seulement vous aviez prit le temps de m'écouter et si seulement j’avais fait ce qu’il faut pour vous parler je pense à vous ou que j’aille dans la joie le bohneur j’ai mal cette etoile brille au dessu de nos âme yeah Je vous écris ces quelques mots ma … puisqu’il le faut Je vous le dit a demi mot je ne renoncerais pas je ne renoncerais pas Je vous écris ces quelques mot que vous lirez le coeur noué Je vous le dit a demi mot et si j’ai tout quitté c’est pour ne rien regretter Merci à Fatou pour cettes paroles Traducción de la canción Los leí en tus ojos, mis sueños de infancia solo podían ser un juego, nada importante La tinta corrió de mis lágrimas, todas las letras se llevan lejos de todos tus Batalla I deraille Se ha ido sin desvío, incluso si recibí tanto amor desde el momento en que lo arrojé, corrí a pesar de mí mismo y de todo mi silencio en un trozo de papel. Te escribo estas pocas palabras mi ... porque es necesario Te digo media palabra, no me rendiré, no me rendiré Te escribo estas pocas palabras para que leas el corazón anudado Te digo media palabra y si dejé todo no me arrepiento de nada Pasé tantas pruebas en el frío que pienso en ti unas cuantas veces en tantas ocasiones Mamá no me culpes, sé que me esperabas mucha más sabiduría, te lastimé Se ha ido sin desvío, incluso si recibí tanto amor desde el momento en que lo arrojé, corrí a pesar de mí mismo y de todo mi silencio en un trozo de papel. Te escribo estas pocas palabras mi ... porque es necesario Te digo media palabra, no me rendiré, no me rendiré Te escribo estas pocas palabras para que leas el corazón anudado Te digo media palabra y si dejé todo no me arrepiento de nada Y si solo hubieras tomado el tiempo para escucharme y si solo hubiera hecho lo que se necesita para hablar contigo, pienso en ti o entré gozo, la felicidad que lastimé, esta estrella brilla en lo más alto de nuestras almas, sí Te escribo estas pocas palabras mi ... porque es necesario Te digo media palabra, no me rendiré, no me rendiré Te escribo estas pocas palabras para que leas el corazón anudado Te digo media palabra y si dejé todo no me arrepiento de nada Gracias a Fatou por estas palabras
\n\nje vous écris ces quelques mots paroles
Eneffet, partir de mots maîtrisés par les élèves favorise la prise de parole de tous les élèves et mobilise leur motivation pour ensuite les enrichir (50 nouveaux mots par séquence!). C’est du clé en main car c’est un fichier photocopiable (180 fiches élèves réparties sur 2 niveaux CE1/CE2) avec guide du maître intégré. 8 fiches par mot. A voir le nombre de lectures la semaine dernière, notre petite rubrique de vacances vous plaît... Alors on continue !Cette semaine, la question existentelle posée aux écrivains est Pourquoi écrivez-vous ? » Je leur laisse la parole. Douglas Kennedy, mai 2007 Pour raconter des histoires ! Pour moi, la fonction d’un écrivain est double. Il doit d’abord écrire des histoires pour les lecteurs; mais il doit mettre dans ces histoires les tensions et les inquiétudes de la vie moderne. Je n’écris pas pour raconter la vie. Il y a 20 ans, quand je commençais à écrire, j’ai essayé quelques romans autobiographiques. C’était nul. J’ai découvert que si on veut recréer sa vie comme romancier, on écrit des romans ratés. » dans Lire, dernier roman La femme du Vème ». Marie Darrieussecq, juin 2007 Mon métier, mon arme, mon rôle, c’est écrire. Pas plus pas moins. Je cherche à inventer de nouvelles formes, à écrire de nouvelles phrases, parce que c'est le seul moyen de rendre compte du monde moderne, dont le mouvement sinon nous dépasse sans cesse, demeurant illisible, incompréhensible. En ce sens toute écriture exploratrice, novatrice, est politique même apparemment éloignée du "réel", des "événements", elle fournit le langage moderne, elle bâtit les outils verbaux et mentaux qui permettent de penser le monde. Elle fait rendre gorge au prêt-à-penser, au déjà dit. » dans Livres Hebdo, dernier roman Tom est mort ». Paul Auster, février 2007 Parce que j’aime raconter des histoires. Je ne me considère pas d'abord comme un romancier mais comme un raconteur d’histoires ». Mais, bien sûr, un raconteur d’histoires est quelqu'un qui utilise la fiction, les mots, et devient, par là même, ce qu’on appelle un romancier. Mais je cherche à raconter la meilleure histoire possible, pas à faire passer telle ou telle idée. Bien sûr, une histoire est plus agréable si elle est accompagnée de métaphores, si elle plonge aux racines de ce qui fait l’être humain. Mais l’histoire prime tout. Sinon, on ne fait plus de roman, mais de l’essai. » dans Lire, dernier roman Dans le scriptorium ». Orhan Pamuk, janvier 2007 J'écris parce que j'en ai envie. J'écris parce que je ne peux pas faire comme les autres un travail normal. J'écris parce que je suis très fâché contre vous tous, contre tout le monde. J'écris parce qu'il me plaît de rester enfermé dans une chambre. J'écris parce que je ne peux supporter la réalité qu'en la modifiant. J'écris parce que j'aime l'odeur du papier. J'écris parce que je me plais à la célébrité. J'écris parce que la vie, le monde, tout est incroyablement beau et étonnant. J'écris parce que je n'arrive pas à être heureux, quoi que je fasse. J'écris pour être heureux. » sur le site du prix Nobel, dernier roman Istanbul ». Colum Mc Cann, septembre 2007 Je crois en la nécessité de la parole écrite. Mais il faut distinguer la nécessité du pouvoir. Je ne suis pas convaincu du pouvoir de la littérature aujourd’hui, mais même si la littérature n’a pas de pouvoir, j’estime que la parole écrite est totalement nécessaire. Les histoires conservent la trace du temps. Elles mettent l’accent sur les questions du cœur humain. Faulkner dit que la meilleure écriture renvoie au cœur humain. C’est la trame de toute histoire. Et les meilleures ont le pouvoir de changer les choses. C’est quelque chose en quoi je dois croire… sinon, bien sûr, il est inutile d’écrire. » sur l’Ivre de lecture, dernier roman Zoli ». Je vous souhaite une excellente fête de Noël. La semaine prochaine, ce sera la "Revue de presse" ou "Paroles d'écrivains", selon l'actualité ! Jevous écris d’Italie, un pays fermé à cause des risques de contagion, qui s’est lui-même isolé du reste du monde dans l’espoir de vaincre le coronavirus ; le seul pays, d’après l Cette belle chanson de 1915 est signée Théodore Botrel sur une mélodie populaire plutôt mélancolique d’Aristide Bruant. Elle donne l’occasion de parler d’un sujet au cœur des préoccupations des soldats la de poilus » sont si jeunes qu’ils n’ont pas encore de fiancée à laquelle confier leurs tourments et lourds secrets. Ceux-là, comme celui qui s’exprime ici, écrivent donc à leur mère, en euphémisant les choses, en ne disant que ce qui se peut entendre. Des mots plein de douceur prévenante et même d’humour. La chanson évoque le p’tit trou et la grande air, comme s’il s’agissait d’un lieu de villégiature, d’un séjour à l’hôtel », s’amuse, admiratif, Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson, qui a conçu plusieurs spectacles autour des chansons de la Première Guerre de la mort en chansonAucun poilu, sans doute, n’aurait écrit une telle chanson qui nécessite un certain recul. L’audace des trouvailles est forte, mais Botrel, grand auteur à succès, ne veut pas démoraliser. Son gars reste vaillant, il se rit de la mort, et le désespoir ne se lit pas dans les lignes, malgré la mort qui rôde. Le texte inclut quelques mots nouveaux les shrapnels, ces obus à balles tirés par l’ennemi, le fameux canon de 75 », très peu utilisé dans cette guerre de position, ou un obusier, le Rimailhos ».Chrétien, l’auteur breton inclut également une référence à la religion en mentionnant le sergent qui est aussi curé un gradé devait savoir lire, écrire et parler, ce qui était le cas des curés. C’est le genre de détails que les chansons nous rappellent », commente Olivier Hussenet, également du Hall de la Botrel, sur l’air de A Batignolles d’Aristide Bruant 1915 DR - Interprétation lors du spectacle Parade Fauve », par les artistes du Hall de la chanson, Olivier Hussenet et Manon Landowski chant, Lionel Privat trompette-jouet, Cyrille Lehn piano.____________________________LES PAROLES Je vous écris ma chère mamanDurant que pour un bon momentNotre section est bien cachée Dans la tranchée !... C’est vraiment le p’tit trou pas cherY a pas à dire c’est la grande air »Quoiqu’ la vue soit un peu bouchéeDans la tranchée !... Nos 75 », nos Rimailhos »Nous berçant à leurs trémolosOn rêve à la France revanchéeDans la tranchée !Dès qu’apparaît le quart seul’mentDe la moitié d’un’ gu… d’AllemandNous la rentrons, très amochéeDans la tranchée !Alors commenc’nt, sempiternelsLes arrosag’s de leurs shrapnels La terre en est toute jonchéeDans la tranchée !...L’un d’nous est mort, et mort joyeuxEn s’écriant Tout est au mieuxVoilà ma tomb’ toute piochée Dans la tranchée ! »Le sergent, qu’est curé, lui dit Repose en paix, héros béniSur qui la Gloire s’est penchéeDans la tranchée ! »Nous te veng’rons, nous l’jurons tousCar la victoire est avec nousElle mont’ la gard’, près d’nous couchéeDans la tranchée !
Jevous écris ces quelques mot que vous lirez le coeur noué Je vous le dit a demi mot et si j’ai tout quitté c’est pour ne rien regretter (Merci à Fatou pour cettes paroles) Traducción de la
Entrez le titre d'une chanson, artiste ou parolesMusixmatchPROPalmarès de parolesCommunautéContribuerConnexionParolesCes quelques motsDernière mise à jour le 12 mars 2021Paroles limitéesMalheureusement, nous ne sommes pas autorisés à afficher ces place, for music moreCompagnieÀ propos de nousCarrièresPresseContactBlogProduitsFor Music CreatorsFor PublishersFor PartnersFor DevelopersFor the CommunityCommunautéVue d'ensembleRègles de rédactionDevenir un CurateurAssistanceAsk the CommunityMusixmatchPolitique de confidentialitéPolitique de cookiesCLUFDroit d'auteur🇮🇹 Fait avec amour & passion en Italie. 🌎 Apprécié partoutTous les artistesABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ
Ceque vous écrivez sur une carte de confirmation? - Quelques suggestions . Famille. May 1. Ecrire. Bible cite sur la carte de confirmation Soyez. Une carte de confirmation avec les dictons ou citations de confirmation correctes de la Bible et de donner ainsi le Firmling les mots justes pour le voyage . Ces paroles de confirmation d'écrire sur la carte de félicitations. Avec
Notre Dame Reine de la Paix Pedro Régis le 20 août 2022 Chers enfants, aimez et défendez la vérité. Vous vous dirigez vers un avenir de doutes et d'incertitudes. Les hommes embrasseront ce qui est faux, et peu resteront fermes dans la foi. Repentez-vous et servez le Seigneur avec joie. Votre récompense viendra du Seigneur. Soyez fidèles à l'Evangile de mon Jésus et au vrai Magistère de Son Eglise. L'humanité boira la coupe amère du chagrin parce que les hommes se sont éloignés de la vérité. Je vous demande d'entretenir la flamme de votre foi et d'essayer d'imiter mon Fils Jésus en tout. N'oubliez pas c'est dans cette vie et non dans une autre que vous devez témoigner de votre foi. Consacrez une partie de votre temps à la prière. Ce n'est que par le pouvoir de la prière que vous pouvez atteindre la victoire. En avant sans crainte ! Je prierai mon Jésus pour vous. C'est le message que je vous donne aujourd'hui au nom de la Très Sainte Trinité. Merci de m'avoir permis de vous réunir ici une fois de plus. Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen. Soit en paix. Message de navigation
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